Mais ou sont-ils tous passés ??? (Suite des retrouvailles)

J avais sombré dans un profond sommeil de tel sorte que je n éntendais rien de se qui se passait autour de moi, je sentais par contre qu on me touchait le dos, mes blessures... quelqu'un me soigner, et une chaleur douce et réconfortante étais contre moi, sur mes lèvres ?? Puis elle se fit plus générale me réchauffant doucement.. je récupérais lentement, la nuit entière avait suffit à retrouver des force, quand je me reveilla, je fut surpris de me retrouver dans un lit avec Rose dans mes bras ... il c était passé quoi au juste ?? On était pas dans un souterrain ?? Elles avaient du me ramener... décidément tout prenais des tournures gigantesques ces derniers temps !! ... je tournais la tête, Jinny dormais sur la banquette a côté de nous ... de ... nous ...

Rose dormait profondément, je la posa doucement sur le matelas, l embrassant dans ses cheveux sans la réveiller, elle avait besoin de dormir aussi, elle avait du avoir peur ... je mis un pied sur le sol lorsque que je vis cet affreux pantalon sur mes jambes !! en levant les yeux je vis que ma fille me regardait avec un grand sourire

J: " tu aime ??"

Elle compris a mon expression que ça n etais pas le cas du tout ... et elle avait osé me laisser comme sa avec ... huuum ... je suis certain qu elle l avait fait exprès car elle retenait un fou rire. Je lui fit signe de sortir de la pièce et nous nous somme rendu au poste de contrôle ou Jinny éclata de rire

" DES OURS !!!! "

J'étais exaspéré !

" avec tout se que j ai dans mon dressing , toi tu choisis LES OURSONS !!! MAIS REGARDE !!! "

Jinny rigolait de plus belle, elle avait les larmes aux yeux

J:" c etais ... tellement mignon !!! (Nouveau fou rire ... )

Au début je trouvais ça ridicule, sa l était, jebme vis dans le miroir, ma fille plier en deux derrière, je ne pu m empêcher de la suivre ... me voilà en train de me moquer de moi !

" mais ... t as oublié les chausson !!! Et le bonnet !! C est important le bonnet !! "

Jinny se leva et s approchant de moi, elle sorti de derrière son dos le fameux bonnet qu elle m enfila sur la tête puis posé un peu plus loin; me ramena mes chaussons en forme de tête d ours ..

J:" on se refais pas papounet ! "

Et on se remis a rire de plus belle

Je m’étais endormie paisiblement, contre lui, les battements de ses cœurs me berçaient, aussi, je ne remarquai même pas qu’il s’était remis et avait quitté le lit. Et mon sommeil devenait de plus en plus lourd, de plus en plus profond. Puis je me retrouvai dans un rêve, j’étais sur une belle place ensoleillée, ça faisait des années et des années que j’accompagnais le docteur, et, toutes ces aventures avaient fini par m’épuiser.
Et, ce jour-là, nous venions de mettre un terme à une crise difficile, et j’étais à bout de souffle, lorsque le docteur me regarda d’un air où se mêlaient indifférence et méchanceté. Le regard que je détestais tant chez son clone. Et il me dit qu’il n’avait plus besoin de moi, qu’il ne pouvait plus se permettre de me trainer comme un boulet, avant de se précipiter dans son tardis et m’abandonner là, seule et désemparée. Une voix résonna dans ma tête, me disant que j’avais échoué, et que désormais, rien n’empêcherait plus que ça arrive. Mais, que quoi arrive ?
Je me réveillai en sursaut, apeurée et en pleurs. Il ma fallut plusieurs minutes pour réaliser que j’étais dans la chambre du docteur, et un peu plus pour me souvenir de ce que j’y faisais. Je me levai, toute chancelante, et quittai la pièce, après avoir soigneusement refait le lit.
J’entendais des rires venant du poste de contrôle et entrai dans la pièce. J’entrai dans la pièce, et le spectacle du docteur en pyjama ourson, avec le bonnet et les pantoufles qui allaient avec me firent vite oublier ce vilain cauchemar, et je partis dans un terrible et incontrôlable fou rire. Au moins, le docteur allait mieux, s’il pouvait se permettre de refaire l’andouille pareillement. Je ne savais pas si on avait remarqué ma présence, et, je descendis dans ma chambre, me changer vite fait, et me faire un brin de toilette, je voulais effacer les traces de ces pleurs, ne pas me montrer faible. Je craignais que Jenny me fasse une remarque humoristique qui m’aurait blessée. Je l’aimais beaucoup, mais j’avais peur qu’elle ne sache pas où s’arrêter dans la plaisanterie.
Ceci fait, je remontai dans prestement, me disant que le docteur voudrait probablement continuer son tête à tête familial, je m’installai dans la bibliothèque, prenant le dernier tome de l’encyclopédie, et m’attelant à faire une recherche.
Je m’étais endormie paisiblement, contre lui, les battements de ses cœurs me berçaient, aussi, je ne remarquai même pas qu’il s’était remis et avait quitté le lit. Et mon sommeil devenait de plus en plus lourd, de plus en plus profond. Puis je me retrouvai dans un rêve, j’étais sur une belle place ensoleillée, ça faisait des années et des années que j’accompagnais le docteur, et, toutes ces aventures avaient fini par m’épuiser.
Et, ce jour-là, nous venions de mettre un terme à une crise difficile, et j’étais à bout de souffle, lorsque le docteur me regarda d’un air où se mêlaient indifférence et méchanceté. Le regard que je détestais tant chez son clone. Et il me dit qu’il n’avait plus besoin de moi, qu’il ne pouvait plus se permettre de me trainer comme un boulet, avant de se précipiter dans son tardis et m’abandonner là, seule et désemparée. Une voix résonna dans ma tête, me disant que j’avais échoué, et que désormais, rien n’empêcherait plus que ça arrive. Mais, que quoi arrive ?
Je me réveillai en sursaut, apeurée et en pleurs. Il ma fallut plusieurs minutes pour réaliser que j’étais dans la chambre du docteur, et un peu plus pour me souvenir de ce que j’y faisais. Je me levai, toute chancelante, et quittai la pièce, après avoir soigneusement refait le lit.
J’entendais des rires venant du poste de contrôle et entrai dans la pièce. J’entrai dans la pièce, et le spectacle du docteur en pyjama ourson, avec le bonnet et les pantoufles qui allaient avec me firent vite oublier ce vilain cauchemar, et je partis dans un terrible et incontrôlable fou rire. Au moins, le docteur allait mieux, s’il pouvait se permettre de refaire l’andouille pareillement. Je ne savais pas si on avait remarqué ma présence, et, je descendis dans ma chambre, me changer vite fait, et me faire un brin de toilette, je voulais effacer les traces de ces pleurs, ne pas me montrer faible. Je craignais que Jenny me fasse une remarque humoristique qui m’aurait blessée. Je l’aimais beaucoup, mais j’avais peur qu’elle ne sache pas où s’arrêter dans la plaisanterie.
Ceci fait, je remontai dans prestement, me disant que le docteur voudrait probablement continuer son tête à tête familial, je m’installai dans la bibliothèque, prenant le dernier tome de l’encyclopédie, et m’attelant à faire une recherche.

Apres avoir bien rigoler sur mon accoutrement de nuit je fini par aller me vêtir normalement, mon costume et ma veste était bon a jeter, j en avais d autre bien sur mais de temps en temps j avais envie de changer, j enfilais un jean noir, un tee shirt blanc, des basiques, mes baskets adoré et un blouson en cuir, ooooh que sa me changer !! J ébouriffant mes cheveux et me dandinais devant le miroir, sa me plaisait bien de jouer les jeunes !! J avais déjà eue se genre de vêtements lors de ma 9ème régénération, sa m allais toujours aussi bien !!

Je décidais d aller voir si Rose dormais toujours, en entrant dans la chambre je trouvais un lit vide et fait au carré, alors ou était elle passé ?? Je parcourais les couloirs du tardis jusqu'à enfin la trouver dans la bibliothèque ou elle lisait... une encyclopédie... ma fois pourquoi pas. Je m avançais en silence jusqu'à la porte ou je pris appuis sur mon bras pour l'admirer quelques instants, puis je dit doucement :

" besoin d aide ??" (Grand sourire)

Je sursautai, surprise, et fermai le livre rapidement, comme pour cacher ce que j’étais en train de chercher, de toute façon, je ne trouvais rien du tout, ce nom qui résonnait dans ma tête restait un mystère, peut être devrais-je, en dernier recours, lui demander. Mais pas aujourd’hui, ce n’était pas le moment. A moins qu’il ne finisse par découvrir mon petit secret, et les raisons de mes angoisses.
Et je me tournai, vers lui, avec un petit sourire, décidée à détourner son attention.
« Ouah, nouveau look, ça te va super bien, remarque les nounours c’était cool aussi »
Je lui fais un petit clin d’œil amusé. Je rangeai le livre, espérant que le docteur n’aie pas trop fait attention à ce que je faisais et me précipite l’enlacer. Je faisais très attention à ne pas appuyer sur ses blessures, j’étais fort heureuse de le retrouver sur pieds. Et les battements de ses cœurs me rassurèrent tellement.
« Si tu savais comme tu m’as fait peur, j’ai bien cru te perdre, comment te sens tu ? »
Je me sentais toute joyeuse, le cauchemar de cette nuit, les coups de panique des catacombes, tout ça, c’était de l’histoire ancienne. Mon docteur était là, sain et sauf. Et c’était tout ce qu’il comptait. Je lui proposai de s’assoir, il n’avait pas forcément besoin de trop s’épuiser. Peut être pourrions nous prendre une journée de repos après les émotions d’hier.
Je n’entendais rien dans le tardis, je me demandais où pouvait bien être Jenny. Puis, je me pris encore, un verre d’eau.
« Au fait, tu avais perdu ça dans les catacombes, il faudrait peut être que je te le rende, tu devais le chercher »
Et je lui tendis son tournevis sonique, avec un petit sourire malicieux.
« Vraiment pratique, j’aimerais bien en avoir un moi aussi. »

Elle me sauta dans les bras et je la soulevais pour nous installer sur le grand canapé de la bibliothèque après son invitationà m assoir , je la gardais sur mes genoux.

" j aime être ici, c est reposant tu ne trouve pas ?? Mais ... pourquoi une encyclopédie ?? "

Je la regardais dans les yeux, elle savait que je pouvais lire ses pensées si elle me laissait libre accès mais je ne faisais jamais se genre de chose sans l accord de la personne concernée, tout le monde devais garder ses pensées pour elle ... mais quelque chose la perturbé, j en étais persuadé.

" tu sais que tu peux me parler Rose ... je suis la pour t aider, de n importe quoi, n est pas peur de m importuner ou autre ... tu peux tout me dire... j aimerais te retrouver, vraiment... tu n es pas vraiment la ces derniers temps... et moi je suis rouillé... (petit sourire) on fais la paire !"

Je pouvais parler moi ! Pourquoi ne pas lui parler de se qui me faisait si peur ... ne pas lui dire se qu'il m arrivait depuis ma régénération... une peur si intense qu' elle a failli me faire perdre la tête ! Devenir fou au point de m enfermé dans mon tardis comme le pauvre imbécile que je suis... si je voulais qu elle me parle, qu elle me fasse confiance et qu elle me retrouve tel que je l avais laissé, bien que se soit peut probable, il fallait déjà que je soit transparent avec elle moi aussi.

On étaient très silencieux finalement, l un contre l autre a se regarder, tout les deux perdu dans nos pensées...

" de quoi a tu peur Rose ? "

Je posais ma tête contre le canapé en fermant les yeux et je murmurais maintenant...

" est ce que tu veux toujours entendre se que je n ai jamais su te dire depuis toute ses années ?? "

Il voulait savoir de quoi j’avais peur, mais de tellement de choses, je ne savais pas par où commencer. Devais-je lui parler de mes doutes sur moi-même, sur ce que j’étais, sur ma santé, ou bien lui parler de mes visions, ces prémonitions qui parfois m’arrangeaient, parfois me faisaient entrevoir un futur bien sombre. Je craignais quelque part que Jenny lui aie raconté comment nous étions venues à bout de la serrure, et la vision qui m’avait montré le leurre, sans parler de mon dernier cauchemar.
Finalement, je décidai de ne pas parler de tout ça, juste lui parler de ce nom, peut être saura t’il ce que ça voulait dire, et que de savoir m’aiderait à me l’extraire de la tête. Pour le reste, on en parlerait plus tard.
« Lorsqu’on était en Inde, quand j’ai du faire un effort au-delà de mon seuil de tolérance pour distraire le gros monstre, j’ai fini par perdre conscience. Et, alors que j’étais dans le noir complet, alors que tu mettais un terme à l’existence de cette bestiole, j’ai ressenti quelque chose de terrible, comme si j’étais, dans mon rêve, au milieu d’une explosion. Puis une voix, m’a dit une phrase, j’ignore ce qu’elle veut dire, mais je me souviens qu’elle m’a terrorisée. »
Je le regarde, je n’osais pas prononcer cette phrase, ce nom qui me faisait peur, même si j’en ignorais la signification, et, finalement, je me ravisai, comme il m’avait parlé de me confier ce qu’il me cachait, si je déviais la conversation là-dessus, peut être qu’il n’essaierait pas d’investiguer plus en avant à mon sujet. En tout cas, je le souhaitais ardemment, dire ces mots à voix haute me semblaient hors de mes forces, et j’ignorais pourquoi.
« Voilà, tu vois, rien de bien important, et toi, alors, tu as des choses à me confier, qui sont, j’en suis certaine, beaucoup plus intéressantes »
Je le regardai en souriant, mais mon sourire se heurta aux barrières de ses yeux clos.

Je l écoutais, au son de sa voix je savais qu'elle ne voulait pas en parler, c était pas grave, elle me le dirait quand elle s en sentirais le courage. J ouvrais les yeux.

"Ce que tu as a dire, sera toujours intéressant ! Pourquoi pense tu que sa ne m interessera pas ? Pourquoi tu as si peur de m ennuyé ? Tu est la personne la plus importante a mes yeux aujourd'hui alors, si je peux t aider je le ferais et même si ça n est pas important ! Alors, peux me.dire quelle est cette phrase ? Peut être que j'en serais plus... tu fais souvent se genre de rêves ?"

Mes trait étaient sérieux, cette histoire m inquiètais un peu.

" prend ton temps, je ne veux pas te pressé, si tu ne veux pas parler de sa, je respecterais ton choix, ... quand a moi ... je prendrais le temps de tout t expliquer ensuite ... "

Je finis par craquer, et décidai de tout lui révéler depuis le début, depuis que nous nous étions séparés.
« Ca risque d’être long, et assez pénible pour moi, essaie de garder tes questions pour la fin, si je m’interromps, je ne suis pas certaine d’avoir le courage de pouvoir continuer »
Je pris une grande inspiration, et saisis le peu de courage que j’avais.
« Environ deux ans après que j’aie quitté ce monde, j’ai commencé à sentir une impression étrange, comme une sensation de chaleur à l’intérieur, et cette impression ne m’a jamais quitté. Puis, sont arrivés les rêves. Des rêves d’une réalité stupéfiante, parfois me révélant un détail, des petites visions, du genre qui me permettait de savoir ce que cherchait un client avant qu’il n’entre dans le magasin, des petits détails. C’est ce qu’il s’est passé la dernière nuit là-bas, j’ai fait un cauchemar qui m’a réveillée, je ne me rappelais pas de ce cauchemar, mais, je sentais que je devais quitter la ville, partir sur la plage.
Puis, il y a eu la faille, toi-même tu as affirmé que personne ne pouvait traverser le void ainsi, et pourtant, je l’ai fait. Comment est ce possible ? J’ai eu une vision là-dessus, j’étais enveloppée par une sorte d’énergie protectrice, et, celle-ci, quand elle m’a laissée sur terre, a pris une forme de loup, je ne sais pas ce que ça veut dire.
Mais, j’en suis arrivé à me demander si j’étais encore humaine, dans un de ces rêves, la voix m’a demandé ce que j’étais, et je n’avais même plus la réponse.
Puis après que nous nous soyons retrouvés, j’ai fait de nombreux cauchemars. Et j’ai eu des visions assez violentes. La dernière, c’était la nuit dernière, et elle m’a horrifiée. Dans mon songe, j’étais devenue trop vieille pour continuer à voyager avec toi, et tu m’abandonnais comme ça, sur une place d’une ville inconnue, sans un regard en arrière. Et j’ai peur que ça finisse ainsi. »
Je sentais les larmes qui coulaient, je me sentais tellement bizarre en racontant toute cette histoire.
« Et cette phrase, qui m’a causé une peur irrationnelle, pour détailler un peu ce que j’ai vu, il y a eu une grande explosion, je te voyais au milieu, je savais que c’était toi, mais je n’arrivais pas à te reconnaitre dans les flammes, je savais juste que cette déflagration, c’étaient ta colère, et ta haine qui l’avaient provoquée. Et là, la voix me dit,
il arrive
Je demandais qui, et cette voix me répondit un nom qui m’a inexplicablement terrorisée, et dont je cherche le sens depuis, elle me répondit :
Le Valeyard »
J’étais enfin arrivée à dire tout ça, et j’avais une forme de soulagement qui montait en moi, mais j’ignorais quelle réaction le docteur aurait, je baissais les yeux, et n’osait pas le regarder, peur de son jugement, peur qu’il me rejette, qu’il me confirme que j’étais devenu ce que je savais, quelque chose de non humain. Et saurait t’il la réponse pour ce nom ?

Je restais silencieux un petit moment, repassant les paroles de Rose dans ma tête pour mieux les analyser, est-ce que elle était encore humaine ? Oui sa ne fait aucun doute... mais, quelque chose était différent également, le temps ne s écoutait plus de la même manière, elle vieillissait plus lentement c était évident il suffisait de la regarder ! Quand a ses rêves... elle avait absorbé le cœur du tardis, même si je l avais rendu à son propriétaire, il se peut que sa ai eu des effets secondaires sur elle ...

" ce dont je suis certain, c est que tu es bien humaine mais le temps s ecoule plus lentement pour toi depuis que tu as absorbé le cœur de mon tardis et je pense, mais c est a vérifier, que malgré le fait que je te l'ai retirer, il te reste des fragments de sa puissance qui ont comme fusionner avec toi et te donne un don de clairvoyance... enfin je le suppose ... "

Je l attirer vers moi, posant sa tête sur mon épaule.

" je suis certain également que même si il m ais possible de détruire une planète a cause de la colère et la haine qui peuvent également m animé surtout ses derniers temps ... je ne te laisserais plus jamais derrière moi !, quand sera venu le moment pour toi de partir, je t accompagnerai jusqu'au bout... ce qu il m arrivera ensuite, ne concernera que moi ... le valeyard ... si je doit l affronter et bien ... soit, et si je dois le devenir alors ... je ne serais plus le docteur... je ne serais pas capable de te dire qui il est vraiment ... mais ne t en occupe pas ... il est la pour les seigneurs du temps ... j ai de nombreuses vies, qui sais se qu il se passera dans mon futur ? Et tes rêves sont des.predictions que l on peut changer..."

Je la regardais du coin de l'œil

" tu dois être effrayé ! ... je ne sais pas si j ai apporté des réponses a tes questions... si ce n est pas le cas... je ferais en sorte de les trouver plus tard, et je n ai pas l intention de te laisser derrière moi je te le répète... je ne te laisserais plus jamais ! "

Ses paroles me touchaient, au plus profond de mon être. Il ne me jugeait pas, il me comprenait, et ça balayait ma crainte, en revanche, il avait à demi-mots confirmé que mon humanité n’était plus totale. Mais si même lui n’était pas capable de m’expliquer ce que j’étais vraiment, j’avais de quoi m’inquiéter un peu. Et si ces fragments de puissance continuaient à grandir, que deviendrais-je ?
Et pour le Valeyard, il m’avait plus ou moins montré qu’il connaissait ce nom, mais n’avait pas vraiment su me répondre à la question. Le valeyard et le docteur seraient un même être, une autre régénération ? Je craignais pour son avenir, mais je tentai de m’efforcer de jouer les rassurées .
« Tu as raison, la vision a dit qu’il arrivait, mais elle n’a pas dit quand, mais pourquoi ce nom me fait t’il tant peur, à moi, viscéralement ? »
Je me précipitai dans ses bras, je tremblais de partout, il semblait ne pas se soucier de ça, mais si j’avais eu cette vision, c’était bien que ça n’arriverait pas dans un millénaire ! Mais d’en parler, ça m’avait fait tant de bien.
Il ne m’avait pas répondu pour cette sensation de brûlure, et je me rendis compte que je n’avais pas expliqué que je la sentais de plus en plus forte. Mais ce n’était pas grave, on verrait un autre jour. Je m’étais totalement livrée à lui, il savait tout ce que je gardais en moi, mes craintes, et le reste. Après ça, je pouvais envisager qu’il me confie, lui aussi, ses tourments.
Je me blottis contre lui, tendrement, toujours frissonnante, et je me sentais tellement vulnérable. Je passai ma main contre sa joue, les yeux humides. Si Jenny me voyait là, elle me prendrait encore pour une princesse.
« Et toi alors, tu avais des choses à me confier, toi aussi »

Elle était toute tremblante, elle avait peur, je la serrais contre moi, je voulais la rassurer, je fini par me redresser et prendre son visage entre mes mains pour qu elle me regarde.

"Rose, tu n'est pas toute seule, je suis la, tant que tu ne t éloigne pas de moi tu sera en sécurité peut importe se que te dise tes rêves... ce ne sont que des rêves... on trouvera des réponses a toutes tes questions mais, ne doute pas de toi, ne doute pas de se que tu es, sa n as pas d importance tant que tu es en vie, une humaine qui a évolué tout simplement, voyager avec moi n arrangera pas les choses... je suis désolé, mais je te promet que tu n aura pas une deuxième tête qui va pousser !"

Je voulais la voir sourire, sa détresse me décontenancé, j aurais tellement aimé pouvoir lui hôte ses peurs. Je la regardais rire et pleurer en même temps, et je la repris dans mes bras serrant un peu plus mon étreinte, la laissant se déchargé de toute ses émotions qu elle retenais depuis longtemps. Ce n étais pas le moment de lui parler de mon problème... sa n allais pas la rassurer du tout ... mais je lui avais promis... j attendais qu elle se soit calmer puis je lui raconta

"Tes visions ne sont pas totalement incohérentes ... lors de ma dernière régénération j ai moi aussi hérité d une sorte de don ... ou de pouvoir que je califirais d obscur qui se nourrit de ma colère ... la première fois qu il c est manifesté, j ai décimé une armée de cybermen... je n ai pas pu le contrôler... et, a Rome la dernière fois... j'ai réussi a le contenir assez longtemps... j'ai désintégrer Elana ..."

Je sentit Rose se figé

" je ne contrôle pas ce phénomène... quand il est présent, il prend le dessus ... Je ne suis pas partisant de se genre de chose et pourtant... j en ai hérité, j en ai eu peur, j'ai toujours peur ... par ce que je ne connais pas l étendu que peut avoir se don ... les dégâts que je peux causer malgré moi ... "

Un frisson me parcouru l échine

" voilà ce que je ne voulais pas que tu sache ... je ne supporterais pas que tu ai peur de moi ... ce regard de terreur que j'ai vu sur les habitants et sur mon amie... il me hantera jusqu'à ma mort ... je ne comprend pas pourquoi, moi ... et je déteste ne pas comprendre ! ..."

Je soupirais... basculant de nouveau ma tête sur le canapé les yeux river sur le plafond.

Je me figeai d’un coup, ma vision sur le valeyard était apparemment arrivée au moment de la destruction d’Elana, et si le docteur me disait qu’il a utilisé ce pouvoir à ce moment là, ça voudrait-il dire qu’il y avait un lien entre ce pouvoir et le valeyard ?
Que pouvais je faire ? Il me fallait une aide, une vision, quelque chose pour l’aider, peut être qu’il me faudrait le concours d’un seigneur du temps, mais, il n’en reste plus à ce que je savais. Peut être des archives quelque part qui n’auraient pas été sur leur planète, quelque chose qu’ils auraient voulu sauver de la guerre !
« Ce n’est pas ta faute, il est évident qu’il y a quelque chose en toi qui te perturbe, qui te fait agir contre ta volonté, contre ton essence même. Ce phénomène, quelle qu’elle soit, si c’est le valeyard, ou autre chose, tu n’as pas à porter le fardeau de ses crimes. »
Je passai la main dans ses cheveux, et le regardai avec bienveillance.
« Désormais, tu n’es plus seul, tu as des amis, des personnes qui t’aiment, et si cette chose te veut, c’est l’armée que nous sommes qu’il devra affronter, un puissant tardis, une super guerrière, et moi, celle qu’on ne sait même pas ce que c’est »
Je continuai à lui passer la main dans les cheveux, j’espérais tant le toucher, qu’il cesse de se tourmenter, même si, ce docteur, c’était celui des regrets, celui qui regrettait Gallifrey, et ses deux milliards sept cent millions d’enfants. Ce nombre, encore le souvenir d’un songe.
« Moi non plus, je ne t’abandonnerai jamais, et même si tu devais te retrouver possédé par ce truc, compte sur moi pour aller au fond de ton esprit lui botter l’arrière train si fort que tout l’univers à toutes les époques en tremblera d’effroi »

Ses carresses dans mes cheveux m.apaisais

" je sais ... ce n est pas ma faute ... mais c est assez perturbant pour moi qui clame ne pas aimer me battre ... la vérité c est que je peux être terrifiant... si je perd de mon humanité bien que je ne soit pas humain ... "

Je lui fit un petit sourire

" mais, Rose, ne te donne pas.pour objectif de faire de moi un être compatissant et gentil, je ne le suis pas toujours... il m arrive de devoirs trancher sur certaines chose ... malgré ma retissance... c est comme sa, et tant que je crois en la beauté de se monde, de cet univers et dans la vie ... je ne serais pas vraiment un danger pour les autres ... sauf si on me cherche mais la c est différent ! Ne t inquiète pas pour moi ... "

Je jouais avec ses cheveux, laissant un long silence

" j ai remarqué... que l ont faisait comme si on ne c etait jamais quitté... mais la vérité c est qu on a souffert tout les deux de cette séparation... sa nous a changé... a cause d une simple décision que j'ai refusé de prendre... j'ai fait un très mauvais choix mais toi ... t as réussi a traverser le temps et l espace, tu m as retrouvé... au final tu me retrouve toujours... alors ... quelque chose me dit que maintenant que tu es pres de moi, sa va aller... "

Je lui sourit de nouveau

"Je sais se que tu pense ... ne vas pas aussi loin et vie l instant présent... le futur attendra ... j'ai juste besoin de toi... rien d'autre... juste toi "

Même si ces paroles me touchaient beaucoup, je ne pouvais m’empêcher de les trouver un peu égoïstes, il venait de retrouver sa fille, et j’avais l’impression, que pour lui, elle n’avait aucune importance. Ah, docteur, la fibre paternelle, ce n’est pas ton fort !
« Je ne te demande pas d’être compatissant et gentil, et je ne te le demanderai jamais, je veux juste que tu sois celui que tu as toujours été, celui qui m’a accompagnée, et dont j’ai chéri le souvenir, que tu sois le docteur, celui qui choisit toujours la solution qui évite de faire couler le sang, celui qui fait en sorte qu’à chaque fois que c’est possible, tout le monde vive ! Celui qui désarme ses ennemis par les mots, et non par les armes, et qui, même s’il doit les prendre, ne les prend pas pour tuer »
Je le regardai dans les yeux, des paroles d’un autre temps m’étaient revenues, et il serait temps de les lui remémorer.
« Un jour, tu m’as dit quelque chose que je n’ai jamais oublié, tu te souviens ? Quand tu m’avais parlé de qui était vraiment le docteur ? De la promesse que tu t’étais faite en prenant ce nom, et celle que tu dois garder dans ton cœur à chaque fois que tu le portes ? »
Je n’avais jamais oublié, même si ça faisait des années et des années qu’il m’avait prononcé ces paroles, et que j’avais réentendues de sa bouche et de celle d’une autre de ses incarnations au cours d’une de mes visions, ces mots dont j’avais fait ma doctrine, ma façon de vivre, pour être digne de lui, pour mériter de marcher auprès de lui !
« Jamais de cruauté, jamais de lâcheté. Ne jamais abandonner, ne jamais se rendre »
Et je n’avais jamais abandonné, c’est pour ça que j’étais là, maintenant, à essayer de lui rendre sa volonté, celle d’être un docteur, d’être mon docteur ! J’essayais de le toucher au plus profond de son être, j’essayais de faire comprendre à ce qu’il résidait au fond de lui qu’il avait déjà perdu, car ses ténèbres seraient balayées par la lumière du Docteur, et le peu que je lui apporterai, si ça faisait la différence, je l’apporterai, au prix de ma vie s’il le fallait !
« Jamais de cruauté, jamais de lâcheté. Ne jamais abandonner, ne jamais se rendre, c’est ça, mon docteur, et c’est ça que cette noirceur au fond de toi ne sera jamais, et c’est pour ça qu’elle ne gagnera pas »
Mon cœur battait à tout rompre, je défiais ces ténèbres de m’affronter, et je n’avais pas peur d’elles, je voulais de tout cœur montrer au docteur qu’il n’y avait pas de raison de les craindre, et qui si une insignifiante humaine était capable de se dresser sur leur route, alors, lui, le si puissant seigneur du temps ne devait pas trembler !
« Non, quoi qu’il arrive, ça ne gagnera pas, parce que mon docteur, celui en qui je crois est tellement plus fort que cette insignifiante petite chose ! »
Je me sentais tellement déterminée, la peur que j’avais eue, en entendant ce mot, je la balayais, car, moi non plus, je ne serai pas lâche !

" suis je si différent ? Si je ne t avais pas parler de mon problème, t en serait tu doutais ?? "

J étais persuadé que j'aurais du attendre encore un peu avant de lui exposer mon problème, elle n'était pas prête a entendre se genre de confidences... pourquoi pensait elle que j avais baissé les bras ? Qu est ce qu'il lui faisait penser que son docteur n était plus là ?? Que j avais abandonné...

" tu as raison, j ai été lâche en me mettant de côté si longtemps dans mon tardis, mais j étais seul, Rose ... j avais peur justement de.ne pas pouvoir tenir cette promesse que je m etais faite de rester le docteur...mais malgré tout, je suis bien la non ? C est bien la preuve que je me suis battu pour ne.pas perdre cette lumière qui me caracterise si bien ! Je suis toujours contre les armes, les.combats, les soldats ! Les injustices, les invasions, la guerre, Je fais toujours face quoi qu'il arrive, même quand j en souffre personnellement... mais je vieilli également et mes convictions évoluent elles aussi ..."

Je commencer a désespéré...

" pourquoi ne.me.vois tu pas ? Je ne suis pas si différent pourtant... tu as pu le constater ses derniers jours ! Non ? "

Ont ne le savaient pas, mais Jinny était contre le mur de la bibliothèque dans le couloir, elle ne voulait pas nous déranger, elle avait compris qu ont avaient besoin de mettre les choses au claire, les larmes aux yeux, elle decida de continuer son enquête de son côté et disparut dans le grand couloir métallique du tardis.

Je soupirais, me tenant maintenant face à elle, beaucoup moins tactile...

"Ça n est pas.insignifiant ... ce qui se passe en moi m est inconnu, j essaie de comprendre et je ne le contrôle pas ... du moins pour le.moment ... "

J appuyer mes bras sur mes jambes, les.mains croisaient en regardant le sol, ou était donc passé notre complicité ??? ...

Non, c’était ma faute, je n’aurais pas du prononcer ces paroles. J’avais été maladroite, en voulant lui faire comprendre que j’était prête à tout pour lui, prête à me battre jusqu’au bout, avec tout le courage du monde, au nom du docteur, et dans le respect de son crédo, j’avais juste réussi à le blesser
« Docteur, je regrette, je n’aurais pas du dire ça. Je n’avais pas compris, je voulais juste faire comprendre à cette chose, que tant que nous serons côte à côte, elle n’aurait pas son mot à dire. J’ai été nulle, je n’ai pas réfléchi »
J’avais tellement honte de ma réaction, tellement spontanée, irréfléchie, que je ne me sentais plus capable de rester là. Je me précipitai hors de la bibliothèque, et quittai le tardis, sans même réaliser, sans même savoir où et quand il était posé. Seul comptait pour moi, de disparaitre, de me cacher. De courir le plus loin possible, sans réfléchir, sans me mettre de grandes tartes dans la tête.
Après un certain temps, je me retrouvai fort loin, complètement perdue, et je m’assis sur une pierre, près d’une rivière. Hésitant un petit moment sur ce que je devais faire. Ces fichues visions, et cette crainte qu’elles m’avaient insufflée, c’était ça ma malédiction. Les gens comme moi, c’étaient ce qu’on appelait des sorcières, et les sorcières, c’est maléfique.
Et je venais de prouver que je n’étais pas quelqu’un de bien, que j’étais une entité vouée au mal, et que tous mes efforts n’y changeraient rien. Je n’étais qu’un démon qui avait voulu se prendre pour un ange. Je regardais l’eau couler dans la rivière, et j’en arrivai à me dire qu’un petit pas depuis le sommet de ce pont, et ce serait fini, un monstre de moins, une menace de moins, une cause de souffrance pour le docteur de moins. Mais d’un autre côté, faire ça, ça risquait de le faire souffrir, et, ça, je ne le voulais pas. Et je ne savais pas quoi faire.
Après tout, j’étais tellement obnubilée par retrouver le docteur que j’avais perdu que je ne m’étais même pas demandé si j’étais toujours la Rose qu’il espérait.
« Pourquoi n’ai-je pas disparu dans le void, ça aurait été tellement mieux pour tout le monde »
Et je restai assise sur ce bout de caillou, regardant, à travers mes larmes, les pales d’un moulin qui tournaient au loin.

Je la vis s affolé tout a coup, QUOI ??? Comment sa sa faute ?? Mais qu'est-ce qu il lui prend ??? Je la vis submergé par des émotions contradictoires et finir par partir en courrant me laissant la comme.un.idiot ... j avais comme l impression qu'ont ne c étaient pas compris... elle était si jeune, si spontané ! Et moi peut-être un peu trop insensible... ces dernières années ne m avait pas arranger faux croire ... il fallait que je la retrouve ! Je voulais juste ... oh, sa n avait pas.d importance ...

Je remontais dans la salle.de contrôle, ou était passé ma.fille ?? Huum ...

" nous revoilà seuls ma belle .... est-ce que tu peut me montrer ou se trouve Rose ? Et Jinny d ailleurs ! Et ou tu nous a mené ??"

Je vis l écran de contrôle affiché une carte, on se trouvaient dans une forêt... je verrai sa plus tard, un point bleu m indiqué que Jinny n étais pas loin, et Rose en rouge c était eloignait, non loin d une rivière... je parti enfiler mes vêtements habituel, finalement ils étaient bien plus confortable, je mis mes lunettes et lorsque j ouvrit la porte du tardis je le trouvais nez à nez avec ma blondinette ! C est fou se qu elle me ressemblait !!

J: " oh ! Vous vous êtes battu ?? C'est quoi cette tête ??"

" un mal entendu.... elle est parti en courrant... "

Elle haussa les sourcils

J:" vous êtes vraiment pas douer tout les deux !! Vous voulez être ensemble ! Vous voulez tout faire l un pour l'autre au péril de vos propres vie !! Et vous êtes pas capable de vous dire les choses simplement !! Tu l'aime non de dieu !! Alors dis lui c est pas compliqué !!! "

Je restais bouche bée.. je me faisait passer un savon en plus ! Et elle ne faisait que commencer.. elle avait son regard de tueur... je reculais

J:" pourquoi tu est encore la a me regarder comme un idiot !!! VA LA REJOINDRE !! Il faut vraiment tout te dire c est pas vrai !!!"

Puis elle me poussa et me mis a la porte de mon tardis, elle me criait derrière la porte

J:" ET NE REVIENS PAS TANT QUE C EST PAS REGLER !!"

je devais être en train de rêver ! C est sûrement sa !! Elle venais de me mettre a la porte ... qu'elle journée... sa avait pourtant bien commencé...

Je me dirigeais donc vers la rivière ou je fini après plusieurs longues minutes de marche voir des heures, par la retrouver près de l eau perdu dans ses tourments, je m'approchai doucement, et pris place a ses côtés la regardant avec un petit sourire au coin des lèvres, je voulais être rassurant...

" si tu voulais prendre l air il fallais me le dire ... "

Je me sentais toute triste, et n’osais pas le regarder en face, je fixais l’eau de la rivière, où nageaient des poissons, insouciants.
« Oui, j’avais besoin de sortir, d’être un peu seule, de faire le point et réfléchir. J’étais tellement centrée sur cette vision, sur le besoin que j’avais de l’affronter, de me prouver que j’étais capable de faire preuve de courage, même dans cette situation, que je t’ai blessé. Je n’ai pas cherché à te comprendre, j’ai vu ce que tu as en toi comme un ennemi à combattre, et j’ai foncé. »
Je tournai le regard vers le moulin, qui tournait, inexorablement.
« C’est vrai que j’ai changé, j’ai passé dix ans à me forger une carapace, à ne rien montrer aux autres, et ne me laisser aller que quand personne ne peut me voir, je me suis centrée sur moi-même, et, pourtant, je ne peux m’empêcher d’aller vers les autres, et de soutenir ce que je peux »
J’avais de plus en plus de mal, de plus en plus de sanglots dans la voix.
« J’ai voulu défier celui qui, pour moi, menaçait le seul être que je n’ai jamais aimé, et, au final, je n’ai réussi qu’à lui faire du mal. Je dois être un monstre, ou plutôt, j’ai la certitude d’en être un ! Peut être eut t’il mieux valu que je ne revienne pas, que ces cybermen m’aient ‘’mise à jour’’ »
Je n’avais pas réalisé que je venais de glisser dans la conversation, ce que je voulais lui dire depuis si longtemps.
« J’ai tellement peur de ce que je suis devenue, et ça me fait peur. C’est peut être aussi pour ça que j’ai réagi ainsi, pensant qu’en t’aidant à combattre ce mal, tu n’aurais pas à vivre ce que je vis. Et, être de nouveau, et à 100%, mon docteur, celui qui dit ‘’allons y’’ en français »
Mon regard repartit vers les poissons, au fond, je voulais le prendre dans mes bras, mais j’avais la trouille qu’il me repousse.
« J’ai voulu vivre selon les préceptes du docteur, aider les gens comme le fait le docteur, et peut être que, quelque part, je me suis un peu trop prise pour le docteur. »
J’entendais un cloc, cloc, je baissai les yeux, c’était le bruit de mes larmes qui tombaient sur la pierre.

Je la laissais s exprimer sans dire un mot, valais mieux que je ne dise rien, mais comment pouvait elle se voir comme.un.monstre ! ... fallait que je l'aide réellement cette fois, je n aimais pas la voir pleurer alors, je la pris dans mes bras toujours en silence, parfois les gestes étaient mieux que la parole. Je la laissais pleurer contre moi, elle en avait besoin, puis lorsqu'elle avait repris un peu d aplomb je lui soulevais son jolie menton de ma main tout en la regardant plein de bienveillance, écartant les quelques mèches qu elle avait sur le visage, je lui sourit, Jenny avait raison ... ont étaient pas douer ... je fini par lui dire calmement avec douceur

" être moi c est un dilemme perpétuel, tu n'es pas un monstre... tu es la plus belle rencontre que j ai jamais faite... celle qui m as fait découvrir a quel point je pouvais être meilleur... la seule chose que tu dois retenir de tout ça... c est que je t aime ... je te l ai déjà dit, le reste n as pas d importance... si tu savais comme je suis heureux que tu ai survécu au void ... ne te torture pas de la sorte ... tu es peut être un peu différente aujourd'hui mais la différence fait la force ... alors ensemble avec nos défauts on s en sortira désormais... parce qu'on sera la l un pour l'autre... "

C’était lui, toujours lui, qui me sortait des ténèbres, qui me donnait envie de continuer à vivre, à avancer. C’était lui qui me remettait les idées en place, et le cerveau à l’endroit. Je l’avais blessé, et il était quand même là, à me consoler. Celui qui me complétait parfaitement.
Je le regardais, oh, ce que je l’aimais !
Je l’enlaçais encore une fois, et posai ma tête sur son épaule, en silence. Le chagrin passait, je ne ressentais plus rien, même ma brûlure me fichait la paix, c’était tellement rare ! J’écoutais sa respiration, et ça me détendait. J’aurais pu rester comme ça toute une vie. L’eau de la rivière coulait derrière moi, et, ça me rappela le bruit de l’eau que j’avais écouté pendant dix ans. Comme un symbole. Je fermai les yeux, laissant la magie du moment m’envahir. Et je me pris à sourire.
Tous les moments passés dans la bibliothèque etaient sortis de ma tête, plus rien d’autre n’avait de l’importance. Je le serrai tellement fort contre moi que j’ai bien dû lui planter un ongle ou deux dans le dos. J’avais perdu la notion du temps, la notion de tout. Et mon cœur qui s’emballait tellement.
Je lui murmurai à l’oreille
« Je t’aime aussi docteur, et j’aime tant voyager avec toi, avec Jenny, avec mon petit loup aussi. Alors, tu as raison, le reste est sans importance, du moment qu’on est là, à veiller l’un sur l’autre. »
J’étais tellement vidée émotionnellement que je ne savais pas si les mots avaient quitté mes lèvres, je ne réalisais plus rien. J’avais juste envie de sourire, et de repartir en voyage, vers une nouvelle aventure palpitante. J’attendais le moment où il me proposerait de rentrer, moi, je ne voulais pas briser ce moment, si rare, et si précieux.

Alors voilà ! Enfin on avait réussi a se comprendre, a se parler et a se dire se qu on aurais du se dire il y a déjà bien des années, elle s agrippait a moi, comme si elle n y croyais pas, comme si elle avait peur que je disparaisse a nouveau... je souriais moi aussi, posant ma tête sur la sienne, profitant au maximum de se moment privilégié qui du prendre fin précipitamment, ont entendis comme des bruits d épées sortant de leur fourreau, quand je me retourna, je fis accueilli pas la pointe d une dizaine d épées bien tranchantes

"Déclinez votre identité !! Le.roi n autorise pas les intrus ici !!!"

Je me detachais lentement de Rose à mon grand regret, lui faisant signe de rester calme, je me levais pour faire face à ce qui semblait être un chevalier...

"Je me nomme sire Smith ... et voici lady Rose Smith ! Mon épouse... "

Je lui fit un clin œil discret

C:" vous allez devoir.nous.suivre !! Ne discutez pas ou je vous découpe en rondelles !!"

Je levais les bras

"Oh mais ! Je n en avais pas l intention !! (Grand sourire) allons y !! Conduisez nous a votre chef !! "

Apparemment ont se trouvaient dans un royaume, en comptant les chevaliers, le.nombre de 12 m interpellais ... 12 chevaliers... ce blason ... MAIS OUI !!! je me tournais vers Rose, me.pencha pour lui chuchoter discrètement en suivant les hommes sur.leurs chevaux qui.nous devancaient.

"Ce sont les chevaliers de la table ronde !! On doit être en Bretagne... et je crois bien.qu ils nous mènent a Camelot !! "

J étais euphorique, bien que je n aimais pas les soldats, j avais un grand respect pour les chevaliers qui se battaient toujours, eux aussi, pour leur convictions et leurs valeurs ! Aussi, j étais pressé de pouvoir rencontrer le grand Arthur ! Et de peut-être voir Excalibur ! Cette magnifique épée légendaire !

Alors, les chevaliers de la table ronde ont vraiment existé ? Voilà qui met un terme à des années de disputes entre historiens. Je jetai un œil en direction de « sire Smith », qui avait l’air de s’amuser, et revoir son œil pétiller ainsi, ça me fit plaisir.
Mais il y avait un truc que je ne comprenais pas, dans la chanson de geste, Camelot était sensé être une terre accueillante, et là, les chevaliers avaient affirmé que le roi n’acceptait pas les intrus. Quelque chose ne tournait pas rond, je jetai un œil en direction du docteur, pour voir s’il pensait la même chose que moi, mais il ne me regardait pas, et je ne pus croiser son regard. Rose, ma fille, peut être es tu juste trop suspicieuse !
Je regardai autour de moi, nous étions dans un village médiéval, et je n’apercevais pas de trace d’anachronisme quelconque, ni, de même sur ces chevaliers. Tout paraissait normal. Alors, autant laisser les choses se dérouler et laisser le docteur s’amuser. Nous approchions d’une forteresse, ce serait donc ça, le fameux Camelot ? Et dire que j’allais m’y présenter en toge romaine, j’allais encore passer pour je ne sais quoi. Mais, au moins, cette tenue était bien confortable.
Je me mis à rire intérieurement, au moins, ce n’était pas un pyjama « nounours », c’était toujours une consolation, et les souvenirs du docteur avec son pyjama et son bonnet me firent sourir.
Et, question pyjama, le souvenir du docteur se battant en pyjama, à l’épée contre un chef sycorax me revint à l’esprit. Il était décidément capable de tout, de toutes les excentricités, et de tous les exploits.
Nous entrâmes dans la forteresse via un grand pont levis, et les chevaliers descendirent de leurs destriers. Avant de nous faire signe d’entrer par une petite porte en bois.

Le trajet se passa plutôt bien, mais quelque chose dans le comportement censé être chaleureux chez les chevaliers d Arthur m interpellais.... j avais l impression que quelque chose manqué... mais c etais peut être mon imagination ! On verra bien !! Du coin de l œil je vis Rose sourire, apparemment elle s amusair autant que moi, sa me rassurais quelque part... et souriais a mon tour remarquant ses vêtements... pas trop de cet époque mais les costumes n existaient pas non plus !! ...

Ont arrivaient donc à Camelot... enfin je crois ... puis ont nous fit passer par une petite porte de service pour se retrouver dans une cours ou un petit barbu nous attendait... il me regardait avec insistance comme s'il voulait me dire quelque chose... je le connaissais ?? Peut être... je le remettais pas ... et la entra un homme, vêtu de vêtements royaux je supporse vu la qualité de ceci, il nous regardait avec dédain en s adressant à ses chevaliers. Sa n était pas Arthur sa c est certain ! ... je marmonais un 'C est pas vrai ... ' en me.tournant vers Rose .

RL:" qui sont ses gens !! Et surtout quel est cette accoutrement ! Etes vous des troubadours ?? Et vous gente demoiselle ??? Une courtisane ??"

Un troubadour ?? Moi ??? ... ma fois s il voulais que je chante ! Il faudrais qu il s attende a une pluie ardente ensuite ... et traitait Rose de courtisane ! Mon dieu ce qu'il n'avait pas dit !! en tout cas sa ne présager rien de bon ... et je vis le vieillard nous attrapaient par le bras en faisant une reverence à son roi ...

M:" votre grandeur, se sont mes apprentit ! J ai fait appel à eux pour pouvoir préparer mes potions ! "

MERLIN !!! mais oui !! ... pourquoi ne l.avais je pas reconnu !! Ce bon vieux magicien !!

Le roi le regardais interloqué, fit un signe de la main

RL:" soit ... pensait donc a nous prévenir la prochaine fois mon brave Merlin ... vous savez se qu ils arrivent au intrus ici ... "

M:" oui mon seigneur, veuillez m.en excuser... "

Son étreinte etais assez serrer, nos poignets en faisant l expérience, mais quelque chose me.disais qu il venait de nous sauver la vie. Il nous entraîna ensuite dans sa tour, fit s assoir Rose et se planta devant moi me fixant de ses gros yeux gris.

M:" vous savez n est ce pas ??"

Je lui fit un signe de la tête

M:" comment peut on faire revenir Arthur !!"

Apparemment la faille n avait pas eu d emprise sur le.magicien ...

Non mais, c’était quoi ce goujat ? J’avais très envie de lui botter son royal séant. Mais je n’allais pas prendre le risque de perturber le flux temporel plus que nous ne le faisions. Je dus devenir toute rouge et perdis d’un coup ma bonne humeur !
C’était donc ça, le fameux roi Arthur ? Décidément, pas à la hauteur de sa légende, je comprenais pourquoi sa femme allait se tirer avec un chevalier qui, je le supposais, serait moins con. Je fus donc soulagée lorsque je me retrouvai à quitter ce royal prétentieux, et suivre un petit vieux, quand même plus avenant, que le roi avait appelé Merlin, ce serait donc le légendaire enchanteur ?
Après être allés dans une tour et avoir gravi quelques marches, je finis par m’assoir sur un tabouret, en écoutant la discussion entre le docteur et son vis à vis auquel, évidemment, personne n’avait songé à me présenter ! Ah, ce docteur, dès que quelque chose attire son attention, il oublie tout le reste, moi, y compris. J’avais l’impression d’être devenue un objet décoratif, et cette pensée me fit sourire, finalement, il n’avait pas changé.
Finalement, lorsque Merlin demanda au docteur comment retrouver le roi Arthur, je compris que le blaireau royal de tout à l’heure n’était pas lui, je m’étais trompée, mais alors, qui était cet usurpateur ? Et cela voulait t’il dire que le roi Arthur était allé rejoindre Gandhi et César, je ne savais où ? Je regardai par la fenêtre, à la recherche d’un indice, quelque chose qui serait visible de si haut, mais, je ne voyais que des bois et des champs. Oh, le point bleu, là bas, ça devait être le tardis, je me souvins que, dans la précipitation, je n’avais pas pris ma clé.
Je me tournai à nouveau, et me remis à écouter la discussion, en silence, après tout, à cette époque d’arriérés, on croyait bien que la place d’une femme n’était guère différente de cette d’un animal de compagnie.

Cet événements étaient un peu trop rapide, je réfléchissais, comment faire revenir Arthur ?? Si seulement il n y avait que lui !!

" a vrai dire c est se que nous nous efforçons de savoir mon cher Merlin ! Voyez vous, Rose et moi même sommes des voyageurs dans le temps, et plusieurs failles se sont ouvertes un peu partout enlevant au passage certaines personnes importantes dans l histoire de l humanité... on cherche toujours le responsable... "

Le vieillard passait de Rose a moi, plusieurs fois, je savais qu il pouvait comprendre se genre de discours, il était pas différent de nous en réalité....

M:" ma vieille carcasse ne me permet plus de voyager hélas ! Je suis un seigneur du temps tout comme vous mon cher ! J ai échapper à la guerre avant qu elle de soit déclaré pour me perdre sur cette planète que je n ai jamais voulu quitter ! J ai utilisé mon cameleonisateur... puis je l ai détruit ainsi que mon tardis ... (il sortit sa montre a gousset pour me la montrer) ... je vie en simple mortel, le magicien est mon nom ... alors je vous ai reconnu... docteur ... "

Je le fixait... venais t il de me dire qu il était lui aussi de mon espèce ?? Je pris sa montre entre mes mains, elle venait bien de Gallifrey ... si on l avais dit sa un jour ! Merlin un seigneur du temps !!

" si vous me.reconnaissais... c est qu elle est vide n est ce pas ?"

Il me.fit un signe de la tête

M:" j ai dû l utilisé pour sauver ma propre existence... et je suis devenu enchanteur par la suite, je le peut avec mes dons ! ... "

Je souriais a grande dents

" c est évident !! "

Puis je vis Rose dans son coin en train de nous regardait en silence ... je manquais vraiment a toute mes obligations ! Je lui tendit la main pour qu elle me rejoigne.