Mais ou sont-ils tous passés ??? (Suite des retrouvailles)

Une faille venais de s'ouvrir mais surtout de s agrandir en 1947, en Inde, pourquoi pas ! L inde est un pays sympa a visiter !! La remarque de Rose sur la douche me fit sourire.

"Va donc te préparer ! Prend ton temps, je vais commencer a voir se qu il se passe au alentours, on se retrouve dans quelques minutes ?"

Mon tardis c était posé, je me dirigeais vers la porte après avoir fait un clin d'œil à la jeune femme. Mais quand j ouvrit celle ci, je ne m attendais pas a être reçu de la sorte, des dizaines de baillonettes tendue vers moi au bout de fusils bien chargés, tout se que j adore !! Je reculais, les mains vers le ciel en signe de soumission, bien que sa ne soit pas le cas. Une main m attrapa et me fit sortir de ma chère cabine bleue avec précipitation, j étais maintenant entouré de soldats anglais armées jusqu'au dent !!

S: " QUI ÊTES-VOUS !! QU' EST CETTE BOITE BLEUE D'OÙVOUS SORTEZ ?? RÉPONDEZ !!! "

mais enfin que se passait-il ? L'Indes n étais plus occupée à cet époque ! Que faisaient-ils là ??

" écoutez ! Je ne suis pas un ennemi (pour le moment du moins) j aimerais juste comprendre... "

Je senti un pointe appuyer sur mon dos et la voix du soldats qui ne crier plus mais étais devenu plus menaçante

S: " parle ! Si tu ne veux pas finir dans le gange !!"

Mon aversion pour les soldats venait d atteindre sont plus haut niveau ! Je devais rester calme et diplomates comme a mon habitude... je ne le lâcher pas des yeux et commencer a être irrité

" je suis le docteur, je suis également Anglais, laissez moi vous le prouver, c est dans ma poche ..."

Le soldat me toisa de bas en haut, je lui aurais bien mis mon poing dans la figure mais sa n étais pas digne de moi ... quel imbécile celui la !! Il me fit signe de son accord, je baissait donc mes bras toujours en l'air pour sortir mon papier psychique, avec son QI sa devrait être un jeu d enfant de lui faire croire se que je voulais ! Et je lui mis devant les yeux. Apres avoir lu la transcription, il se raidi et de mit au garde a vous, qu est ce que mon papier avait pu bien inventé encore ?

S: "BASSEZ VOS ARMES !!!"

Il était maintenant gêné, il me fit une sorte de reverence militaire

S: " veuillez nous excuser ! Nous n étions pas au courant qu il devait y avoir un contrôle ! Monsieur, personne n as annoncé votre venue "

Bin voyons ! Général d une armée!! ... c était le comble ... enfin, on fera avec pour cette fois ! Je pris mon air sévère et ma grosse voix

"Rompez soldats ! C est en effet un contrôle surprise, veuillez m expliquer la situation en détail je vous pris !"

Le soldat m expliqua que la résistance était sous contrôle, que tout se passer bien et que l'Inde sera bientôt complètement aux anglais ... ou été Gandhi ?? Pourquoi l occupation avait pris le dessus ?? Quelqu'un ou quelque chose s'amuser a réécrire l'histoire.... je serrai les poings

" bien, retournez a vos occupations ! Je verrai sa de mes propres yeux ! (Je m efforcé d ajouter), vous avez fait du bon travail soldat ! "

Ils se remirent en rang et de leur démarche militaire bien cadré, ils repartir faire leurs basses besognes au cœur de la ville, je fermais les yeux en prenant une grande respiration... c était pire que ce a quoi je m attendais...

A peine le docteur fut t’il parti que je pus me relâcher un peu, les efforts que j’avais consentis pour masquer que j’avais encore le corps tout endolori. Et je boitai jusqu’à une salle de bain.
« On ne regarde pas » dis-je tout fort à l’attention du Tardis, avec un petit clin d’œil facétieux
Comme c’était gentil de la part du Tardis de m’avoir déjà fait chauffer l’eau à une bonne température, et cette douche me fit un bien fou. A peine sortie, j’eus la surprise de trouver une serviette toute chaude posée sur le présentoir, ainsi que des vêtements tout propres. On aurait dit ceux que j’avais laissé lors de mon séjour précédent, il les avait donc gardés ?
Les années ne m’avaient pas trop changée, cette tenue m’allait parfaitement.
Je quittai la salle de bains, et retournai dans le poste de contrôle, mais le docteur était déjà sorti. Je posai les mains sur une rambarde, et repris mon souffle quelques secondes. Seul le Tardis avait pu voir que je masquais encore pas mal de souffrance.
« Ce sera notre petit secret, le docteur n’a pas besoin de sujet d’inquiétude supplémentaire » Dis je avec un nouveau clin d’œil au panneau de commandes.
J’inspirai un grand coup, serrai les dents, très fort, et me remis à marcher le plus normalement du monde en direction de la sortie.
« A tout à l’heure »
Un grand soleil, ça me changeait de la tempête qu’on avait quittée un peu plus tôt, le temps que mes yeux s’habituent à la luminosité, j’aperçus le docteur, qui semblait pensif. Au moins, il ne s’était pas jeté la tête la première dans les ennuis, et ma présence lui serait bénéfique, j’en était certaine.
Surtout qu’il n’avait pas l’air d’être en totale lucidité à ce que j’avais compris. Nous nous dirigeâmes donc vers la ville. L’Inde en 1947, si ma mémoire était bonne, devait en être à la fin du mouvement Quit India, et, se diriger vers la partition des Indes, avec les milliers de morts qui en ont découlé, les millions de déplacés. J’espérais qu’on ne fût pas trop proches de la frontière, et des zones du Penjab qui auraient pu être dangereuses.
L’entrée de la ville était à portée, aussi, je pris la main du docteur dans la mienne, et l’attira dans cette direction. Puis, mon estomac se mit à crier famine. Je me rendis compte que je n’avais rien mangé depuis le soir de mon départ de l’autre monde, ça commençait à faire longtemps. J’avisai un petit restaurant à la devanture accueillante, et décidai d’y inviter le docteur.
Sans lui laisser le temps de répondre, je m’assis à la terrasse du restaurant et commandai un plat, j’en profitai pour interroger le tenancier sur la situation actuelle, me faisant passer pour une voyageuse déboussolée, ce que j’étais vraiment, en plus. J’en appris que la situation était totalement différente au regard de ce que je connaissais de l’Histoire. Apparemment, la résolution d’aout 1942, n’avait pas vu le jour, et l’inde restait un élément de la couronne, les séparatistes avaient pris les armes, et la désobéissance pacifique avait laissé place à une lutte armée, sans merci, qui avait déjà causé de trop nombreuses victimes, mais qui semblait en passe d’être matée. Je ne comprenais pas ce qu’il avait pu se passer, surtout que personne ne semblait avoir entendu parler de Mahatma Ghandi depuis 1938. Les gens supposaient qu’il n’avait pas accepté de ne pas avoir eu le dernier mot contre Bose, et s’était retiré de la vie publique.

C’était assez inquiétant, car si l’histoire était réécrite dans lui, de nombreuses autres causes qui s’inspiraient de lui pourraient ne jamais voir le jour. Mandela, Luther King, n’auraient pas existé, sans son influence, sans son inspiration ! Docteur, le temps avait besoin de toi ! Lui qui se disait que l’Univers fonctionnerait aussi bien sans lui, il aurait bientôt la preuve que non !
Je finis mon plat, et me sentis beaucoup mieux.

Je me tournai vers le docteur, et lui demandai ce qu'il pensait de la situation, je souhaitais bénéficier de son expérience, et, par dessus tout, lui rendre sa confiance égarée.

Se que je pensais de la situation ? Et bien dans la mesure ou les événements étaient modifié dans le passé, sa aller grandement changer le présent, semer un chaos total ...

" je pense ... qu'il faut qu'on trouve au plus vite le responsable de cette disparition... bien sur les choses finiront par s arranger tot ou tard ici mais les conséquences de l absence de Gandhi ... sa pourrais avoir de grandes répercussions dans le futur, enfin dans notre présent..."

Je regardai Rose dévorer son assiette les sourcils en l air, un peu amusé, je manquais a tout mes devoirs ! La pauvre elle devait mourir de faim ... c est vrai que de se côté la, je ne me préoccupé pas de se genre de chose...

" je suis désolé ! (Sourire amusé), mais pourquoi tu ne m as pas dit que tu avais si faim Rose ? J ai de quoi manger dans le tardis"

La situation m échapper pour le moment, on pouvez encore s accorder une pause, après tout, se qui nous attendais été peut être bien pire ! Et la tete que faisait Rose a cet instant me fit rire au éclats, que sa faisait du bien de rire.

"Pardon ! Je ... (mdr)"

Les personnes présentent dans le restaurant me dévisager, j essayer de me calmer et de reprendre une contenance mais j avais du mal a m arrêter.

" huuum ... pardon ... je ne voulais pas (rire) me moquer de toi c est juste que, je trouve sa ... "

Je plaçait mon poing sur ma bouche la regardant toujours amusé, ce qu elle avait pu me manquer avec ses réactions et ses expressions si spontané.

" ne change pas Rose ... "

Je retenais une autre vague de fou rire que je sentais arriver.

" huuum ... et si on allait visiter ?? (Grand sourire) ont pourraient essayer d en savoir plus auprès des soldats... même si je n'ai pas forcément envie de jouer au général !"

Je repensais à mon passé, à l’expérience très douloureuse avec mon père, lorsque le temps s’était mis en boucle, faisant apparaitre des monstres pour régulariser la situation. Comment, si un changement de situation pour un homme qui n’avait pas influé sur le destin de l’humanité avait pu provoquer un tel chaos, il pouvait penser que les choses s’arrangeraient d’elles-mêmes ?
Quand le docteur parti dans son fou rire, ça me fit vraiment du bien, me faisant quitter ces moroses pensées. Et c’était ça que j’aimais, chez lui, cette facilité qu’il avait de toujours donner l’impression de ne pas être sérieux, de prendre les choses à la légère, tout en tombant toujours juste.
Mais avec tout ça, je me demandai quand avait t’il ri comme ça pour la dernière fois. Il méritait de bons moments, et de pouvoir rire ainsi, chaque jour. Aussi, je feintais un regard offusqué juste pour l’amuser un peu plus. Ces soirées, ces plus de trois mille soirées passées sur cette plage à regretter ces moments de complicité me semblaient désormais si lointaines, alors qu’elles ne dataient que de quelques heures, en fait.
« Tant que je serais avec mon docteur, je n’aurai pas de raison de changer »
J’aurais tellement aimé lui demander, ce qu’il voulait me dire lors de notre dernière communication, quand on avait été coupés, mais je ne voulais pas rouvrir de vieilles blessures, reparler de choses aussi douloureuses.
Finalement, je me demandais bien quel rôle j’allais pouvoir jouer dans son scénario. J’en étais toute curieuse, alors, je me levai d’un bond derrière lui, toujours en faisant un effort pour paraître la plus naturelle possible, heureuse de repartir dans cette nouvelle aventure, qui promettait d’être magique !
Je me souvenais de ce qu’il avait vécu, de ce qu’il m’avait raconté, de son expérience de chef de guerre, et la destruction de son monde natal. Je comprenais sa réticence à jouer un général, un chef de guerre, revivre des choses qui auraient pu lui rappeler ces douloureux souvenirs.
« Docteur, on pourrait peut-être chercher une autre solution, si tu préfères, regardons si nous trouvons une bibliothèque où on pourrait chercher des traces de Gandhi, et voir les incohérences dans l'histoire. Rien ne t'oblige à jouer les soldats contre ta volonté »
Le docteur cachait souvent ses souffrances derrière son sourire, mais j’avais appris à voir derrière la façade, et je sentais bien qu’il n’aimait pas ce que le destin lui demandait de faire

"Une bibliothèque ? Huuum mwoui aussi... " (fais un semblant de moue)

J adorais les livres, les bibliothèques et tout de qui va avec mais la j avais plutôt envie de courir, c est vrai j avais besoin d exercice sa faisait longtemps que je n'avais pas dévaler les rues d une planète pour rétablir le courant des choses ! Et la il fallait trouver des réponses ! Sa c était mon domaine !!

" je ne sais pas si les livres nous apprendront quelque chose cette fois, l histoire a été reecite et nous sommes en train de vivre la nouvelle... il ne faut pas que sa reste comme sa... allons donc nous renseigner auprès des habitants ? Peut être ont ils vu ou entendu quelque chose..."

Je me levais tout en regardant autour de moi, c était un endroit magnifique, et la vieille femme qui nous servait m observer, je me dirigeais vers elle avec désinvolture

" bonjour ! Je suis le docteur, me permettez vous de vous poser quelques questions ? oh ne vous inquiétez pas ! rien de personnel "

Je lui offris un sourire chaleureux, la veille femme se detendit un peu

Vd: " que puis-je pour toi mon garçon ?"

" et bien ... je me demandais si vous auriez vu ou entendu quelque chose ou quelqu'un de ...euh ... d'anormal ?? "

Je me rendit compte que je ne savais pas vraiment se que nous devions chercher ...

Vd:" d anormal ?? Non, rien d anormal mon garcon, la vie suis son cours sans dérivé !"

Je la regardais perplexe... la remercia et la salua avant de rejoindre Rose.

"La vie suis sont cours sans dérivé... je dirais que c est la première fois qu une réponse me sert ... a rien ..."

Je haussais les épaules un peu déçu

" aller suivons notre rivière ou je ne sais quoi d autre ! "

Je me sentis un peu déçue que ma proposition aie été mise de côté ainsi, mais bon, c’était le docteur, si il pensait que c’était le mieux de faire à sa façon, je n’étais personne pour lui dire le contraire, j’avais surtout proposé ça pour lui, pour essayer de l’aider.  En revanche, la réponse de cette dame m’avait interpellée. « La vie suit son cours sans dériver », c’était la première fois que j’entendais une tournure de phrase pareille comment une personne pourrait savoir si le cours de la vie dérive ou non ? Je me demandais si le docteur avait relevé ça, mais avec son intelligence, je n’en doutais pas vraiment. J’avais des impressions étranges depuis que j’étais ici, je me promenais, en Inde en 1947, dans une tenue quand même inhabituelle, et je ne surprenais personne, pas un regard, même furtif en ma direction, comme si ma présence était normale. Le docteur avait toujours, autrefois, dû avoir besoin d’explications, parfois blessantes, pour justifier ma présence, et ma tenue, mais pas ici. Pourquoi ?

Et si, les gens ici n’étaient pas des humains, je repensais à la conscience Nesthène, quand j’avais rencontré le docteur, et, si les gens présents ici étaient des créatures synthétiques, comme ces, comment s’appelaient t’ils déjà… Ah oui, des autons.

Je me retournai brutalement, et observai les alentours, tout paraissait trop normal, les gens semblaient se focaliser sur leurs tâches, comme si rien autour n’avait d’importance, comme des automates. J’avais de plus en plus l’impression que nous étions au beau milieu d’un piège, qui ne demandait qu’à se refermer sur nous.

« Docteur, si tu as une seconde, pourrais tu scanner les gens sur cette place, et t’assurer que tout est normal, que l’on aie bien des humains sur cette place, et pas autre chose »

Peut être était ce juste mon imagination qui me jouait des tours, le besoin de me jeter à corps perdu dans une nouvelle aventure, mais j’avais vraiment un sentiment de crainte qui se développait.

Pas des humains?? MAIS OUI !!! Pourquoi je n y avait pas pensé moi même c était pourtant évident !! Je sorti mon sonique de ma poche et balaya discrètement la salle ... puis je sorti tranquillement en attrapant Rose par la main pour faire de même dans la rue ... même résultat ... aucun etre humain ! Mais qu'est-ce que c etait que cette histoire ?? Le passé qui est reecrit, des hommes en plastiques ! Ou était les humains ?? Et ou étais passé mon tardis ?? Je me penchais discrètement vers Rose pour lui chuchoter a l oreille

"Tu a raison, pas un humain a des kilomètres... et, plus de tardis, faisons comme si de rien n'était et continuons a avancer..."

Je vis tout les regards se tournaient vers nous comme un seul être, c etais vraiment flippant ! Même pour moi, je tenais fermement la main de Rose prêt à l entraîner dans une folle course s'il le fallait, mais pour le moment nous avançions lentement, ils ne faisaient que nous regarder...

" oh Rose regarde comme ce bâtiment est magnifique ! Cet architecture si raffinée ! Si nous allions visiter !! "

J espérer qu elle comprendrais pourquoi je raconter n importe quoi a haute voix... ont devaient se comporter comme se simple visiteurs ... en tout cas j esperais grandement qu ils le croiraient suffisamment longtemps... le danger était imminent... mais on devait rester aussi calme que possible pour se mettre a l abris. Je regardai rapidement les alentours, ils étaient vraiment nombreux... je nous dirigeais vers le palais, retrouver les soldats, j étais pratiquement sur qu'ils n étaient pas en plastique... je me tromper peut-être ? ... sa devenait fatiguant ...

"Psst "

Tout en continuant d avancer je pu entendre comme un chuchotements

"Psst ! Hé vous le grand et sa femme !!"

Je me tournais et découvris une femme de type européenne caché derrière un mur qui nous faisait signe

F:" venez par ici !!"

Je regardais Rose attendant son approbation, puis une fois confirmer nous la suivirent ... elle nous entraîna dans de multiples couloirs, ont descendaient, les égout ? Non ... je ne pense pas, plutôt une sorte de souterrain... puis une espèce de salle sombre plein de grilles d aération... quel était cet endroit ??

F: " vous êtes des voyageurs dans le temps n est ce pas ?? "

Je lui fit un signe de la tête pour aquiecer

F: " alors vous pouvez peut-être m aider ! ... je ne comprends pas se qui se passe ni se que je fais ici ..."

Je commencer a me détendre, elle nous servi a boire et nous invita a prendre place sur un vieux matelas.

"Vous êtes ici depuis longtemps ?"

F: "je ne sais pas vraiment... 2 ou 3 mois ... je suis tombée du ciel un matin, tombée de mon lit ... avec mon lit pour atterrir ici ... "

"Tombé de votre ..."

je sentit le fou rire revenir en imaginant la scène, mais cette femme avait l air assez désorienté alors je pris sur moi en m efforcant de rester poli, j'avoue c était compliqué de rester sérieux...

Le docteur me broyait la main, et, je sentais son bras frémir. Ça devait être la tempête dans sa tête, s’en voulait-il de ne pas avoir pensé à contrôler l’environnement, la prochaine fois, je serai peut être moins directe, et essaierai plus de faire en sorte qu’il pense que l’idée vient de lui ? Lorsque tous les individus présents autour de nous se mirent à nous regarder d’un coup, je ne pus réprimer un frisson dans le bas de mon dos.
Je le vis commencer à jouer les touristes béats, pour endormir un peu leur méfiance, et ça eut l’air de fonctionner, il faudrait cependant que nous restions bien sur nos gardes, maintenant que nous sommes certains qu’il s’agit d’un piège. Mais qui l’aurait créé ? Et est ce qu’il nous était destiné, ou étions-nous rentrés dans cette histoire par hasard ? Je ne doutais pas que nous allions découvrir le fin mot de l’histoire bientôt.
Soudain, une femme nous fit signe, et nous demanda de la suivre, le docteur me fit un regard, comme attendant mon accord, ce qui ne lui ressemblait guère. Etonnée, je fis un signe de tête pour acquiescer, sachant qu’il en mourait d’envie, et puis, de toute façon, nous n’avions guère d’autres choix.
Tout en la suivant, je me posais des questions, le docteur n’avait détecté aucun humain à des kilomètres tout à l’heure, comment avait-elle pu échapper à sa recherche ? Est-ce qu’elle était vraiment humaine, ou était-ce un autre coup tordu ? j’allais devoir être méfiante, surtout avec le docteur et sa manie de vite faire confiance.
Lorsqu’elle nous servit à boire, je fis mine de prendre une gorgée du breuvage, mais n’en consommai rien, toujours méfiante. Puis l’anecdote du lit me fit partir dans un fou rire que je tentai de réprimer, mais, en voyant le docteur qui essayait de prendre sur lui pour ne pas faire de même, je ne pus retenir mon rire plus longtemps.
« Désolée, c’est le côté cocasse de la situation »
Après quelques secondes, je repris mon calme, je sentais le chaud sur mes joues, j’étais sûrement toute rouge, et toute honteuse.

Je laissai le docteur poursuivre les investigations, tout en observant autour de moi, la pièce et notre interlocutrice, à la recherche de quelque chose qui n’aurait pas sa place, quelque chose qui pourrait confirmer ou infirmer mes soupçons. Cette architecture, elle me parait trop occidentale, mais je dois me faire des films.
Je décidai donc de me détendre un peu, et d’écouter la conversation entre le docteur et cette femme.

« Je suis désolée, mais je n’ai pas saisi votre nom » Lui dis-je avec malice.

Rose se mit à rire, ce n étais vraiment pas sérieux mais je n'en pouvais plus ! Je voyais cette pauvre femme atterrir dans se trou avec son lit !! Et je rie de plus belle ..

" pardon !! Vraiment désolé mais ! VOUS ÊTES TOMBÉ AVEC VOTRE LIT !!! "

la femme au début avait un air vexé mais en y repenssant bien, la situation était assez drôle alors ils se trouvaient dans une bouche d aération tout les trois a rire au éclats et se trouvèrent tous un peu gêné ensuite... puis Rose lui demanda son nom, je la vis reprendre son souffle.

F: " je m appelle Elana standford, j ai 55 ans et je suis écossaise... si vous voulais tout savoir je suis une scientifique, je travail sur des ..."

Elle se rendit compte qu'elle ne devait pas divulguer se genre d informations à de parfait étrangers...

F: " huum, je travail pour l armées... "

Ses révélations me firent perdre mon envi de rire, encore l armée ! ... décidément ils étaient vraiment partout ...

" ma question va vous paraître bête mais ... vous étiez en quelle année ?"

Effectivement la question la surpris, elle ouvrit de grand yeux rond

F: " eeeh ... 1914 ... pourquoi ?"

Je soupirais, elle venait du passé... et il allait falloir que je la ramène a son époque... si je retrouver mon tardis bien évidement ! Mais la question etais, pourquoi une faille c était ouverte à son époque ? ...

"Il semble y avoir pas mal de chose à régler ici ... pas qu ici d ailleurs..."

Je me rendit compte qu'ont ne c etaient pas présenté, faut dire qu entre deux fou rire ont y avaient pas pensé ! Je lui tendis la main

"Je suis le docteur ! Et voici Rose Tyler, comment dire... on va vous aider a rentrer chez vous mais il va falloir patienter un peu ... vous avez remarqué des choses étrange ici depuis votre arrivée ? "

F:" les gens ... ils sont ... ils me donne froid dans le dos..."

Même elle l avais remarquer !! J étais vraiment rouillé ! Il était temps que je sorte de mon trou ...

" ils ne sont pas humains... c est compliqué a vous expliquer mais il va falloir qu ont retrouvent les vrai personnes... en gros; ils ont pris leur apparence pour essayer de nous berner mais les vrai personnes sont enfermé quelque part ! Du moins je le suppose... "

F: " je ne suis pas sur d avoir tout compris..."

Je comprenais alors qu'elle me prenais pour un fou, 1914, les personnes étaient encore terre à terre à cet époque... je regardais Rose perplexe...

Alors, elle venait de 1914, le début de la grande guerre, et travaillait pour l’armée. Ca me paraissait étonnant, à cette époque le domaine martial était quand même très masculin, et les femmes n’y avaient pas trop leur place, et on se demandait pourquoi la guerre avait duré. Il allait quand même falloir faire très attention de ne pas lui révéler des informations qui auraient pu perturber le cours du temps.
Cette personne m’inspirait toujours autant de méfiance, mais pour le moment, je lui laissais bénéficier du bénéfice du doute.
Au moins d’être assise me permettait de récupérer un peu, après ces efforts pour ne rien montrer, et j’allais certainement avoir besoin de prendre un max de forces pour la suite, j’en étais persuadée. Et ces sensations de brûlures qui revenaient. Non, ce n’était pas le moment.
Je jetais un regard insistant vers la poche du docteur, en espérant qu’il comprenne que je lui demandais de vérifier son humanité. Puis, je me tournai à nouveau vers cette personne. Je désirais en savoir plus sur son expérience, savoir si tout pouvait être lié, essayer de trouver d’autres choses étranges dans son discours qui pourraient me permettre d’y voir plus clair.
« Je suis curieuse, vous meniez quel genre d’expériences ? C’était pour l’armée britannique ? Vous pouvez parler sans crainte, nous sommes des agents de la couronne, mandatés par downing street, le docteur peut vous montrer les documents si vous voulez »
Le docteur pensait que les humains de cette ville étaient détenus quelque part, seulement, cette ville paraissait assez grande, où pourraient t’ils être, quel était le plus grand bâtiment du secteur
« Quand vous dites que les gens ici sont bizarre, vous les avez observés ? Est-ce qu’ils dorment ? Ont t’ils un point de rassemblement quelque part ? Un hôtel de ville ou un palais quelque part, quelque chose d’assez grand pour stocker des gens ? »
Je me rendis vite compte que je la bombardais de questions, et que j’allais la braquer, il ne me fallait pas me prendre pour le docteur non plus. Aussi, me tus-je et je lançai un petit regard en coin au docteur pour m’excuser de m’imposer un peu trop.

J écoutez Rose poser ses questions à cette pauvre femme qui se sentit quelque peu agressé, un petit sourire aux lèvre, amusé, je lui fit un signe de la tête discret pour lui faire comprendre qu'elle avait bien fait, puis la femme répondit sur un ton de défense.

F: " je ne peux en dire plus sur mon travail, bien sur que je travail pour la courrone !! Pour qui me prenez-vous ?? Une traître !! "

Elle croisa ses bras sous sa poitrine

F: " évidemment que je les ai observer ! Ils ne bougent pas quand ils y a personne ... comme s'ils étaient... vide mais cela ne se peut... "

Je l observer, prenant le temps de la sonder elle aussi en cachette, il fallais que je soit moins confiant... je remarqué également que Rose tenté tant bien que mal de dissimuler ses douleurs, je décidais de faire comme si je ne me.doutais de rien ... pour le moment du moins.

" et pour les points de rassemblement ?"

Je fis un clin d'œil a Rose, la femme fit mine de réfléchir

F: "je ne vois que le palais ... il est immense vous ne pouvez pas le manquer !"

Elle avait maintenant un air de défi

F: " vous êtes de drôles de personnages vous deux !! Vous faite quoi ici au juste ?? "

"Et bien nous essayons de savoir se qu'il se trame, on a en effet remarqué que les gens dehors n avait rien de normal, que certaines personne importantes manqué à l appel, savoir son nom de vous servirez à rien aujourd'hui l histoire a étais reecite donc vous ne le.connaitrais probablement pas ! Et le trou qui vous a conduit ici ... c est surtout pour lui que je suis la, je veux dire que nous sommes là ! ... "

J avais perdu l habitude d être accompagné, je continuer de raisonner seul mais je n e l etais plus maintenant alors il fallais que j en tienne compte pour ne pas.offusquer Rose ou lui laisser un sentiment de solitude...

J’étais persuadée que le docteur allait vouloir se précipiter dans ce palais, et, honnêtement, je ne l’en aurais pas empêché, curieuse que j’étais d’aller fureter là-dedans et découvrir ce qu’il se tramait.
Mais, d’un autre côté, nous ignorions tout des forces en présence, peut être eut-il mieux valu avant cela étudier un de ces robots, pour connaitre leurs points faibles. Même si, je n’avais que peu de doutes que le docteur connaissait ces créatures et savait que faire avec elles.
Et puis une créature qui pourrait remplacer toute la population de cette ville, et la remplacer par des automates, qui aurait fait disparaitre la plus importante, et ne l’aurait pas remplacée, quelle en serait la raison ? J’avais beau me creuser la tête, je ne comprenais pas. Un Gandhi sous leur contrôle aurait pu prendre les décisions qui iraient dans leur sens. A moins qu’il ne fusse déjà trop tard pour eux, l’idéologie est entrée dans les têtes, le vent de l’indépendance a commencé à souffler, et nul ne l’arrêtera. A moins, de remplacer les habitants par des êtres incapables de réflexion. Ou peut-être que la créature n’a pas réfléchi aussi loin, et fait disparaitre un leader, qui aurait été un être trop dangereux pour être maintenu en place. La réponse devrait se trouver au palais.

« Je propose qu’on essaie d’attraper discrètement un de ces humains de synthèse, et qu’on regarde ce qu’il y a à l’intérieur, ce serait une bonne chose de mieux les connaitre. Et puis, il faudrait aussi voir si il y aurait une entrée discrète dans le palais, plutôt que de passer par la grande porte »

Même si je connaissais tellement mon docteur que je me doutais qu’il aurait une attirance pour l’entrée principale, et serait le premier enclin à vouloir passer par celle-ci. Aussi, je le regardai avec un petit sourire et un regard de défi qui voulait dire, fais-moi mentir, et ose ne pas me proposer l’entrée principale.

« Ou peut être pourrions-nous commencer par observer l’endroit où Mme Standford a terminé son épreuve de chute libre sur lit, il resterait sans doute des traces de la faille qui l’a amenée ici »

Je me relevai et attendis l’avis du docteur sur la marche à suivre. Ces quelques minutes d’immobilité m’avaient un peu rechargée, et je me sentais en état de simuler la pleine forme encore quelques heures.

J étais maintenant en pleine réflexion, on avait quoi ? Une population en plastiques, une femme des années 40, des soldats humains... huuum .... plus de Gandhi, plus de tardis... était ils vraiment tous enfermé dans le palais ? Ou était le dirigeant de se pays ?? Rose fini par se levais en attendant ma réponse, que dire .... je ne savais pas trop ou ont mettaient les pieds ...

" découper ses hommes pour les étudier ? Ou est tu aller chercher cette drôle d idée ?? Ils sont fait de plastique vivant qui absorbe les déchets pour se nourrir et ils sont contrôlés par un cerveau qui ne devrait pas se trouvait bien loin.... tu devrais t en souvenir Rose ! Ont les a déjà combattu lorsque j avais de si énormes oreilles ! Ils avaient eue Mickey ! ... entré dans le palais ? Oui en effet tout semble venir de la bas mais on ne peut arriver par la porte principale (petit sourire) ils sont trop nombreux, ont auraient pas le dessus ... quand a Mme Standford ici presente, elle est tombée ici même ... et sa ne nous apprend rien de plus ... AAAAAH C EST UN VRAI CASSE TÊTE TOUT CA !! "

Je me levais d un bon

"C est pas en restant ici qu'ont va trouver quelque chose ! On Va au palais !!! "

Je me tournais maintenant vers les deux femmes qui me dévisager

" par le fleuve.... "

Mon regard éteint lourd de sens, le fleuve en question n étais pas connu pour son eau cristalline mais plutôt pour ses multiples cadavres flottant dans son antre avec tout se que sa pouvais engendré...

J’en restais pantoise, le docteur, qui ne prenait pas le chemin le moins discret ? Là, c’était la surprise. J’avais encore dû faire une de ces têtes qui l’amusaient, il avait compris mon petit regard de défi, et l’avait brillamment relevé ! De surcroît, mes petites idées foireuses pour le faire réagir avaient porté leurs fruits, ses petites remarques pince sans rire dont il avait le secret m’avaient bien fait plaisir, il était bien revenu, je me demandais juste s’il avait compris que ces réflexions tordues étaient volontaires. Mon docteur était là, il revenait, de plus en plus, bientôt, peut être quand il aurait rétabli la situation ici, il sera de retour, désinvolte, redoutable, tel que je l’ai toujours connu.
J’avais juste été surprise de ne pas le voir faire son numéro, rechercher des particules temporelles, ou je ne savais quoi. Tant pis, il devait avoir tout compris et ne pas en avoir besoin. Mon docteur avait toujours plusieurs coups d’avance, et ça, ce n’était pas bon pour la créature qui nous attendait, ou pas, dans le palais. Il avait compris qu’il s’agissait d’un nesthène, au moins, ça bouclait la boucle, j’en avais rencontré un à ma première rencontre avec le docteur, et un à notre première aventure depuis mon retour. Ça me plaisait bien.
Après ces remarques, nous partîmes en direction du fleuve, faisant attention à ne pas se faire repérer. Et ça avait l’air de bien se passer, pas un seul de ces machins en vue dans cette zone-là. Puis, nous arrivâmes devant le fleuve, étrangement propre, je me dis avec soulagement que c’était plutôt bon signe, ça voulait dire que les citadins n’étaient pas en train d’y flotter, leurs chances d’être toujours en vie étaient bonnes.
Une barque se trouvait amarrée non loin, comme si elle nous y attendait. J’eus alors un mauvais pressentiment. Tout ça me semblait presque trop facile, et puait le piège.
Je regardai le docteur avec un petit regard inquiet, et lui demandai s’il était prêt à y aller.

Je regardais le fleuve, la banque, Elana, Rose, le palais au loin , les rues devenus désertique apres notre passage.... les rues ....mon regard resta fixer un moment sur la route principale... désertique...un mal de tête commencer a s installé... désertique... pourquoi il n y avait plus personne... un sentiment étrange m assaillis... désertique... j attrapai la lain de Rose en silence et me tournais vers l eau devenant soudain très mouvementées ... le sol tremblait, je venais de comprendre, je me tournais vers Elana qui aborder un large sourire nous faisant un signe de la main, comme un au revoir funeste les yeux remplis de malice.

" il faut qu'on partent d ici !!! COURS ROSE !!!"

je l entraîna avec moi sur la route principale, de l eau, un enorme soldat de plastique faisait son apparition, c était elle le cerveau !!! Elle avait pris forme humaine !!! Je n avait plus de matière anti plastique sur moi, il fallait que j en fabrique ! Et c était pas le moment de jouer au chimiste ! Je cherchais une issu, il y a toujours des issues !! .... ma tête me faisait mal maintenant, j avais du mal a me concentrer... l eau ... le truc qui nous suivait rtaiz assez lent de part sa taille, je bifurqua avec ma compagne dans une ruelle perpendiculaire, une fois au bout, ont essayaient de reprendre notre souffle, je poser mes deux mains sur mon crâne, la douleur venais de doubler , je m assis sur le sol, impossible de rester debout plus longtemps

" MA TÊTE ! .... "

« Docteur, qu’est ce qu’il t’arrive, DOCTEUR ??? »
Je n’osais pas crier pour ne pas attirer les créatures, et le docteur qui s’effondrait, au plus mauvais moment. Je tiltai, l’eau, j’avais eu raison de me méfier, cette eau devait contenir un produit qui neutralise les seigneurs du temps. Mais que faire ? Combien de temps allaient durer les effets ? Et j’entendais la grosse bébête qui s’approchait.
Docteur, remettez-vous, ou je vous mets un coup de pied au cul tellement fort que vos régénérations auront toutes la marque de ma chaussure sur les fesses ! Plus sérieusement, il fallait que je trouve une solution rapidement pour le protéger, occuper la bestiole, le temps qu’il se remette.
« Désolée docteur, je ne vois pas d’autre solution »
Et je lui envoyai un énorme coup de pied, de toutes mes forces sur l’estomac pour le faire vomir. Ca avait l’air de marcher, ouf. Après coup, je me dis que deux doigts dans la gorge, ça aurait pu être aussi bien, mais il était trop tard. Par acquis de conscience, je le fis aussi, histoire de lui faire vomir encore plus de la substance.
Le gros tas de détritus arrivait, il fallait que je gagne du temps. Puisant dans mes ressources, je me précipitai dans l’artère principale, en vue de la bestiole, qui se dirigea vers moi. Tant que mon corps tiendrait, tant que je pourrais surmonter la douleur, je l’attirerai le plus loin possible du docteur, même si je devais y rester, il me fallait le défendre, à n’importe quel coût !
Je pensais très fort, essayant de créer un lien psychique, au cas où « TARDIS, où est tu ? On a besoin de toi, ton docteur a besoin de toi, on aura du mal à s’en sortir seuls »
J’attirai le monstre dans une rue transverse, puis une autre, en m’éloignant au maximum du docteur, voulant faire en sorte que même s’il m’attrapait, il soit trop loin pour retrouver le docteur avant que celui-ci ne soit en état de lui faire payer.
La souffrance devint insupportable, et je ne tenais plus que par la volonté, soudain, j’aperçus un groupe de soldats. Je passai en trombe devant eux, en les appelant au secours. L’un tenta bien de tirer sur la créature, mais peine perdue, aucun effet, aussi, les soldats prirent leurs jambes à leur cou et ne demandèrent pas leur reste.
Je sentais que mon corps flanchait, que je n’allais pas tarder à perdre conscience. Mais, chaque seconde que je pouvais faire gagner au docteur pouvait être décisive. Rose, réfléchis, ce tuc est fait à base d’ordures, et les ordures, on les incinère. Mais comment faire flamber un truc aussi gros ? Je ne voyais plus de solution, et ma lucidité s’envolait avec le reste. J’aperçus une maison avec la porte ouverte, et me précipitai dedans, me glissant au sous sol, peut être que ce gros truc perdrait du temps à venir m’y chercher, ce serait le mieux que je puisse faire. Je me roulai en boule contre une armoire, lançant un nouvel appel de toutes mes forces au Tardis et là, mon corps lâcha complètement et je perdis conscience.

Apres avoir reçu de multiples coup dans le ventre et vomi mes tripes ! ELLE VENAIT DE ME DONNER DES COUP DE PIEDS DANS LE VENTRE !! je me retrouvais allongé sur le dos, retrouvant mon souffle tant bien que mal, SE QUE SA FAISAIT MAL !!! je réussis a m assoire m aidant du mur derrière moi, retrouvant mes faculté petit à petit. Les pas du géant raisonnaient au loin, il fallait que j y aille ... je me retournais m aidant des briques pour me relever et je me mis a avancer en longent le mur de la ruelle pour retrouver la route le dos du géant m accueilli... matière anti plastique ! J avais besoin de renfores ... je me dirigeais vers le palais, cette fois je pris la porte principale et me trouva nez à nez avec la garde royale, c etait pas trop tôt ! Pour une fois que j étais heureux de voir des soldats ! Celui qui m avait reçu un peu plus tôt vint vers moi et se mis au gardes à vous

"MON GENERAL ! BIENVENUE AU QG"

je me foutais éperdument de ses bienvenue, je lui tendis une liste," trouvez moi tout sa au plus vite !!! Et faite venir vos meilleurs hommes armés de flamme !! "

Le soldat me regardait comme si j'avais perdu la tête mais je perdait patience, mon corps était douloureux, une douleur dont je connaissais la signification... sa recommencer...

" VITE !! NE RESTEZ PAS PLANTER LA !!"

il partit en courrant et quelque temps après un rang de soldats me suivaient dans la rue armée de flambeau, je leur donnais l ordre de s occupé du geant, ils fondèrent l enflammé sans discuter. Je me tenais sur poteau

"ROSE !!! ??"

comme je n obtenais pas de réponse, je scannais les alentours en espérant la trouver, mais mon tournevis ne m appris rien de plus ... en levant la tête, je me rendit compte qu'Elana m observait le sourire au lèvres... alors je me redresser, je sentais la colère monté graduellement, de petit éclair violets apparaissaient autour de moi.... mon regard se fit plus menaçant et je prenais soin de bien articulé

" ou est elle ? ... "

F: "Je n en sais rien mon cher docteur ! Peut-être qu elle est ... morte ! "

Elle essayer de m énervé un peu plus, mais savait elle que sa n étais pas une bonne idée ?

" qu est ce que vous voulez ? "

Elle sourit de plus belle tout en s approchant de moi

F: " la dernière fois tu as eu raison de moi qui n étais qu un pauvre organe puant dans un récipient ! Mais maintenant je suis humaine docteur ! Oserez tu t attaquée a une pauvre humaine sans défense ? "

Elle était a quelle millimètre de moi, les soldats venaient de faire tomber le géant et l un d eux porter Rose dans ses bras, elle avait atteint ses limites... voilà pourquoi je ne la trouvais pas ... la sachant en vie, je me concentrer sur l
Immonde créature devant moi.

" tu n as rien d humain ! Cesse donc cette attaque et repars dans ton monde ... je ne t en tiendrais pas rigueur..."

Elle se mis a rire

F:" sinon ?? "

Je serrais les poings

"Se sera fini ... et vous m en verrais désolé..."

F:" alors, finissons en !!! "

Puis contre toute attente elle m embrassa ! A se moment la de nombreuses images de mort, de chaos , de destruction s emparerent de moi, je pleurais, je posais ma main sur son ventre libérant l énergie que je m efforcais de retenir depuis un moment, elle fut desintegré dans une expression d horreur, je m efondrais sur le sol, les hommes de plastiques commençaient à fondre de partout libérant les hôtes qui servaient à être copier ...

Depuis que j’avais perdu conscience, j’errais dans une sorte de vide, vide dans lequel des flashs apparaissaient. Certains me remémoraient des évènements de mon enfance, d’autres des choses qui ne me disaient rien.

La plupart de ces événements semblaient tourner autour du docteur, ou de moi-même. Mais je n’arrivais pas à mettre les pièces du puzzle en place. Je me sentais tellement lasse, même dans mon inconscient.
Un nouveau flash me montra mon passage dans le void, je me vis de l’extérieur, comme drapée d’un voile d’énergie dorée. Qu’est ce que ça voulait dire ? Puis, cette énergie pris une forme qui ressemblait un peu à une tête de loup.

Je regardais attentivement les images qui se présentaient lorsqu’une explosion écarlate balaya tout. Un docteur, mon docteur, apparaissait dans une nouvelle vision, fort d’un pouvoir terrible, et s’apprêtait à tout détruire. Cette vision d’horreur me réveilla, brutalement. Avec un mot en tête, un seul mot…
Est-ce ce mot, ce nom, le secret du docteur ? Mais, pour le moment, j’ignorais si je devais lui en parler ou non.

J’entrouvris les yeux, tellement épuisée, mon corps me faisait souffrir atrocement. Mais j’étais en vie, ce qui voulait dire qu’il avait réussi, que nous avions réussi. J’ouvris complètement les yeux, et essayais de regarder autour de moi, mais mon corps ne répondait plus du tout, chaque muscle semblait tétanisé. J’étais vraiment allé au-delà de mes forces, bien au-delà du raisonnable, et je pensais bien que j’aurai droit à un bon sermon du docteur, plus tard. J’essayais d’appeler, mais ma voix était si faible.

« docteur »

Je voyais les gens autour s’affairer, mais, où était t’il ? Il fallait que je le voie, que je sache si j’avais réussi à le sauver, à gagner assez de temps. C’était tout ce qui comptait, le voir en vie, sain et sauf.
Un spasme musculaire me traversa, provoquant une immense douleur, mais, même pour ça, je n’avais pas la force de crier. Là, au moins, je n’avais pas la possibilité de masquer ce lourd moment de faiblesse. Besoin de boire, et surtout de dormir.

Je sentais du mouvement autour de moi, et la moindre parcelle de mon corps me faisait horriblement mal, bon fallait être objectif, cette fois je n avait pas fait exploser quoi que se soit... j allais m en remettre comme toujours finalement... j ouvrit les yeux, ou est ce que j étais ?? D après se que je pouvais voir, sa devait être chez quelqu'un. J eus du mal a tourner la tête pour voir et j'entendis une voix masculine que je reconnu aussitôt

S: " mon général, vous ne devriez pas bouger... a vrai dire (il apparut devant moi) je ne sais pas si vous êtes vraiment général comme vous le prétendez, mais je vous laisse le bénéfice du doute, vous nous avez sauver... on vous doit bien sa mais je voudrais que vous soyez franc avec moi ... qui êtes vous réellement ? "

Et mince ... il avait compris... je m.efforcais de me relever, son aide fut la bienvenue, a ma grimace il compris que je souffrais, mais je ne dit rien, me contentant de répondre a ses questions

" je suis le docteur, je voyage dans le temps, je ne suis pas humain et la cabine bleue dans laquelle je suis arrivé, d ailleur si vous pouviez me la rendre sa me ferais plaisir, c est mon vaisseau... je voyage avec une femme, elle se nomme Rose Tyler, elle aussi faudrais me ma rendre ! Vous serez gentil ... elle est humaine mais elle viens de votre futur . .. "

Je marquais une pause, le temps qu il assimile se que je venais de dire, on m apporta de l eau et de quoi manger sur les ordres silencieux du soldat

S: " j ai du mal a croire se que vous me dites, mais je vous ai vu a l œuvre... alors ... pourquoi êtes vous la ? "

Je lui sourit d'un air entendu

" une faille spatio-temporelle c est ouverte et agrandit dans votre époque ... on est venu voir ce qu'il en est... l histoire a été reecite, vous ne devriez pas être la ... un homme d une grande importance a disparu et sa a modifié le cours du temps ... bien que j ai résolu en parti le problème des hommes plastique... je n ai toujours pas la réponse en se qui concerne ces changements.. "

Le soldat me regardait fixement, il avait compris mon récit ou peut-être pas ...

S: " ont a été ramener ici ... moi non plus je ne suis pas de cette époque, j'ai du m adapté... "

Alors la je rester sans voix, je ne m attendais pas a sa ...

" vous ne ... comment sa vous n êtes pas de cette époque ?? "

S: " je suis tombé d une faille moi aussi, mais elle c est ouverte il y a plus de 2 ans... je suis né en 1998 ... et j ai atteri ici en 1947 ... heureusement que je suis réellement soldat... j ai pu entrer dans les rang et par mes connaissances monté en grade rapidement... est-ce que vous pouvez m'aider ? Docteur, a quitté se cauchemar... ?"

Je réfléchis un instant en silence, puis acquiesça de la tête

" je doit retourver Rose et mon tardis ... "

Je me sentais de plus en plus fatiguée, adossée à ce que je pensais être un mur, je ne pouvais qu’observer la situation, et, à travers le flou de ma vision, je voyais des hommes en costume de soldats qui se précipitaient pour aider des civils. J’auras voulu leur crier que c’étaient des monstres, de s’enfuir, mais je n’en n’avais pas les moyens. Et je ne voyais toujours pas le docteur, j’avais de plus en plus peur, peut-être n’avait t’il pas pu se remettre du poison, malgré la grande résistance de sa race, et avait-il dû se régénérer. Que se passerait-il si je ne retrouvais pas mon docteur ?
Une larme coula sur ma joue, qui me fit l’effet d’une goutte d’acide. J’étais tellement desséchée. Un soldat s’approcha de moi, dans un murmure, je lui demandai à boire.
*Ma petite Rose, tu t’es ramollie, avant, tu aurais pu jouer à chat avec le gros matou pendant toute la journée. Il va falloir retrouver la condition.
Le soldat revint avec une bouteille d’eau, et m’aida à boire, puis il s’éloigna avec un petit sourire pour aller secourir d’autres personnes. Je me sentais un peu mieux, mais je ne pensais pas être en état de bouger avant un long moment. Docteur, je suis là, viens me chercher ! Mais je ne l’apercevais toujours nulle part.
Soudain, des mains me saisirent et me soulevèrent, avec délicatesse, puis me reposèrent, je me sentis déplacée, et je réalisai qu’on m’avait déposée sur un brancard. Où m’emmenaient t’ils ? Non, laissez-moi, le docteur va venir me chercher. Mais je n’avais toujours pas la force de protester. Après quelques minutes, je sentis les pas se ralentir.
Brancardier : Voilà Monsieur, on vous l’a ramenée.
On lui fit une réponse que je n’entendis pas, puis, je sentis qu’on me déposait, j’arrivai à tourner légèrement la tête, et, je le vis, enfin, mon docteur, il était là, intact. C’était certainement lui qui m’avait sauvé, comme toujours.

Malgré la souffrance, malgré ce nom qui me résonnait dans la tête à m’en coller la migraine, je réussis à sourire en le voyant approcher.
« Docteur… J’ai fait ce que j’ai pu. »

Le soldat qui me dit plus tard qu'il s appeler Kévin, drôle de nom pour un soldat ! Me dit que Rose etait dans une chambre un peu plus loin et qu il allait la faire amener ici, quand a mon tardis, il ne savait pas ou il se trouvait, personne ne l avais vu ... huum ... j'allais devoir le trouver... mes douleurs disparaissaient doucement, je pouvais me.mouvoir maintenant, peut-être pas courir un marathon mais sa irais ... c est au moment ou je faisais les cent pas, que les brancardiers entraient avec Rose et la déposaient sur le lit ou je me trouvais plus tôt. Elle me sourit quand je m approcher d elle, moi j étais plutôt inquiet... elle me dit avoir fait ce qu'elles avait pu, je m accroupi devant elle, ah! je ne me rappellais plus avoir autant de muscles dans les jambes !!

" tout vas bien tu as été formidable comme toujours "

Je voulais être rassurant, qu elle ne s inquiète pas pour moi, je lui deposa un baisers sur le front et me leva

" j ai quelque chose a réglé, rien de grave, Kévin va m accompagner, (il acquiesça d un signe de la tête)je veux que tu te repose Rose, quand je reviendrais, on pourra peut-être visiter un peu !! (Grand sourire )"

Je retrouvais Kévin dans le couloir, bien plus sérieux

" mon vaisseau a du se mettre en sécurité dans l espace, sa lui arrive parfois, j'ai beau lui envoyer des messages il ne reviens pas... et a cet époque, a part trouver un voyageur temporelle .. "

Kévin me dévisager

" ne me dite pas que vous en connaissez un !! "

K:" pas personnellement... mais il y en a une oui ... "

Il abordait un grand sourire

"Pourquoi on est encore la alors ?? "

K:" oh eh ... bien sûr !! Suivez moi !!"

Il m'entraîne dehors jusqu'à un restaurant irlandais...que faisait un restaurant irlandais en inde ??? Une multitude d incohérences... on entra et Kévin demanda a voir une certaine Liz, une grosse femme aux cheveux frisé roux, des lunettes d aviateur sur la tête et un bracelet caractéristique... elle voyageait bien dans le temps... zut, mes lunettes m aurait permis de le confirmer mais je les avais laissé dans mon tardis ... sans demander son avis je la sonder, le tournevis affirma que cette fois on se trompaient pas !

GF:" alors mon mignon ! Je vous sers quoi ??"

Mon docteur… Il s’en était sorti, et bien mieux que moi, je me sentais tellement heureuse de l’avoir vu, même brièvement, et quand il m’avait bisouillée, mon cœur s’était emballé. J’avais du rougir un peu, ce qui, j’en suis certaine, n’avait pas manqué de lui échapper. J’avais la volonté de l’embrasser, le serrer contre mon cœur. Et il me dit qu’il avait quelque chose à faire, et s’éloigna, je ne voulais pas qu’il m’abandonne, j’avais peur qu’il ne revienne pas.
« Docteur, ne me laisse pas… »
Ma voix était tellement faible qu’elle n’avait pas porté jusqu’à lui.

Il avait du se passer à peine quelques heures, depuis mon excursion dans le void, j’avais perdu la notion du temps, et j’avais l’impression que ça faisait une éternité. Les cybermen, le void, les autons, mes retrouvailles avec le docteur, ça faisait tellement de choses en si peu de temps que mon organisme, et mon esprit n’arrivaient pas à encaisser le choc.

Je ne pouvais pas faire grand-chose en l’état des choses, aussi, je pris sur moi de me reposer un peu, mais surtout, de réfléchir et comprendre le sens de ces visions que j’avais. Je fermai les yeux, et essayai de me concentrer très fort sur la dernière, celle avec le docteur dévastateur, même si ça devait me faire souffrir, il fallait que j’en sache plus, que je comprenne ce qu’il cachait, il fallait que je le sauve, même contre sa volonté, même si je devais le perdre pour ça ! Et quel était le rapport entre lui, et ce nom, qui me semblait lié à lui.

Mais rien ne venait, rien à ce moment-là. Ce n’était sans doute juste pas l’heure de ces révélations. Et ma tête me faisait de plus en plus souffrir. Je ne voulais pas céder au sommeil, ce n’était pas le moment, mais je sentais qu’il me gagnait de plus en plus.

Un soldat s’approcha de moi, et me donna à boire. Etonnant ce que j’ai comme besoin de boire en ce moment, sûrement un contrecoup, ou un besoin de me muscles pour encaisser. Puis, une infirmière posa sa main sur mon front, tirant une tête étonnée, je ne devais pas être dans l’état qu’elle escomptait.

Mes yeux se ferment, je sens que je vais bientôt plonger dans le sommeil, et je n’arrive plus à résister.
« Docteur, je……. »
Je ne finis même pas la phrase. Et m’enfonçai dans un lourd sommeil, qui risquait de durer longtemps, tellement nécessaire, j’étais tellement épuisée, tellement effrayée. Une interrogation me vint à l’esprit, « qu’est tu en réalité, Rose ? »

Je dévisager femme devant moi, se que je voulais boire ?

"Oh je n'ai pas soif par contre si vous voulez bien me prêter votre bracelet vous me serez d une grande aide !"

Je lui fit mon plus beau sourire, en général sa marchait ! Kévin souriait amusé et la dame derrière le bar avait maintenant un regard mauvais ...

GF:" passez à l arrière !"

Elle disparut derrière un grand rideau vert très epais, je la suivi avec prudence précédé du jeune soldat. On se trouvaient dans une grande salle au multiples éclairage, j adorais cette deco !! Magnifique ! Comme un monde d ampoule électrique !

GF:" qui êtes vous ?? Comment savez vous a quoi sert mon bracelet !"

Son regard était maintenant suspicieux

" et bien je suis un seigneur du temps ! Je suis le docteur plus précisément et on a inventé cette machine alors ... je suis encore capable de la reconnaître !"

Et encore un grand sourire enjoué pour cette jol... non , non a vrai dire elle n avait vraiment rien de jolie ... cette pauvre femme n avait pas eu de chance .. mais ma fois, je ne devait pas la juger non plus, elle devait sûrement avoir quelques qualités... huuum

GF:" le docteur vous dites ?? Jbai déjà entendu parler de vous !! Avec votre cabine bleue qui sauver l univers !"

"OUI !! VOILA !! C EST MOI !!! et j'ai justement besoin de votre bracelet pour récupérer mon vaisseau qui et en orbite !! Et qui fait la tête quelque part dans l espace !"

GF:" bin je j'peux rien pour vous !! Vous croyez que s'il marchait je trainerais dans cet endroit paumé !!"

Nouveau sourire, un petit air de defi également, je lui tendit la main

"Vous permettez que je regarde ? Je le répare, vous le laisser récupérer mon tardis et je vous le rend pour que vous puissiez rentrer chez vous ! C est de bonne guerre non ??"

Peut être l expression utilisée n'était pas approprié, mais cette rustre femme n avait pas l'air commode ! Rose aurait adoré la taquiner j en suis sur ! Mais elle avait vraiment besoin se reprendre des forces, je devais la mettre dans le tardis ...

La femme réfléchissait encore et encore et encore ... quand elle vit quebjebl impatientes, elle fini par sourire ... enfin, je crois...

GF:" je vous l'donne qu a une seul condition ! (Elle me dit un signe de tête vers Kévin ) suila devra prendre épouse de ma fille !! Yolanda !! Une pure beauté comme sa mère !!"

Je mordit mes levres pour ne pas exploser de rire quand Kévin se décomposa à l annonce de ses fiançailles, je m approcher de lui pour lui chuchoter a l oreille *c est pour la bonne cause... * avec un regard suppliant, je pense que si on avait été seuls, il m'aurait réellement tuer ! Mais il accepta malgré tout de la rencontrer... pauvre Kévin...

Liz me tendit le bracelet satisfaite mais elle ne penser pas que je sois vraiment capable de le réparer jusqu'à ce que je disparaisse devant ses yeux me matérialisant avec le.sourire jusque dans mon tardis.

Je poussais un grand soupire et me dirigea vers la console ou je désactiver le mode derive ... quel idée de mettre un truc pareil ! Je me posa dans la caserne à côté de Rose, elle dormait profondément, je saluait les infirmières et la deposa dans une chambre de récupération de mon vaisseau, dans un caisson médicale ou elle récupérerait plus vite, oui j avais ça ! Mais que pour les humains ! ...

J indiqué ensuite au tardis de se matérialisait près du restaurant de Liz pour comme promis, lui rendre son bracelet de retour et la suite de notre recherche pourrait enfin continuer !

J’ignore combien de temps je suis restée sans conscience, mais, quand j’ai repris connaissance, toute sensation de douleur était passée. Même cette migraine s’était envolée, juste les souvenirs de ce que j’avais vécu qui perduraient. Ce nom qui me résonnait dans la tête, et que je savais intimement lié au docteur, qui me faisait persister un sentiment d’effroi au fond de moi.
Je me relève, et regarde autour de moi, je suis dans une pièce que je n’avais jamais visitée, on aurait dit une chambre aseptisée, avec des petites lumières qui flottaient. Je me levai, et me rends compte que je remarchais sans souci sans problème, sans besoin de masquer quoi que ce soit. J’avisai la porte et me dirigeai vers elle, en priant pour qu’elle ne soit pas verrouillée, j’aurais mal vécu de me retrouver prisonnière quelque part. Heureusement, ce n’était pas le cas, et je pu sortir dans un couloir, où je reconnus l’architecture du Tardis. Toute guillerette, je gambadai vers la salle de contrôle, où le docteur semblait assez occupé.
J’avais une grosse appréhension en entrant dans la pièce, peur des remontrances, que le docteur m’en veuille d’avoir pris tous ces risques, dans mon état, et de lui avoir caché également à quel point je souffrais. Mais je n’avais pas pu faire autrement, je n’allais pas me défiler face au danger, et le laisser seul, plus maintenant que je l’avais enfin retrouvé ! Je franchis la porte, toute timide, et me glisse dans le dos du docteur, et l’enlace de toutes mes forces.
« Coucou, vous deux, je vous ai manqué ? »
J’étais curieuse de savoir ce qu’il s’était passé depuis que j’avais dû jouer les appâts vivants avec le modèle géant d’auton, alors, je demandai au docteur de me raconter en détails, j’aurais aimé savoir si la femme tombée du lit existait vraiment ou si le nesthène l’avait inventée de toutes pièces, et comment le docteur en était venu à bout. Je me demandais aussi ce qu’il s’était passé quand j’avais repris connaissance, et qui étaient ces gens que j’avais vus.
Et puis, rien à voir, mais une fois qu’il m’aurait raconté tout ça, j’aurais aimé prendre des nouvelles de nos amis, Jack, par exemple, et de Mickey (Rickey l’idiot pour le docteur), il avait du s’en passer des choses pour eux, pendant toutes ces années.

Une fois de retour à bord, j évaluais la situation, les failles n avait pas augmentées en nombre depuis la dernière fois, mais une autre venais de doubler de volume, voilà notre prochaine destination ! Je sentis tout à coup deux mains m'entourer , je souriais, Rose etait réveillé et en pleine forme.

" manquer ? Non du tout .... "

Je lui répondit ceci en me retournant pour lui faire face, elle était petite ! Ou c est moi qui était grand ! Le sourire au lèvres et le regard plein de tendresse je la gardais quelques temps contre moi, répondant à ses questions.

" après m'avoir rouer de coup de pied ... huuum ... (sourire) tu as réussi a faire diversion, comme tu avais perdu connaissance j avais du mal a te localiser alors je suis aller chercher les soldats, ils ont mis le feu au géant et je me suis occupé d elana ... c était le cerveau... je ... enfin elle a pas voulu battre en retraite alors j ai fait se que devais faire... et les hommes de plastique on fondu, les soldats t on retrouvé et mise à l abris ensuite j ai du aller chercher le tardis dans l espace, j ai oublié de lever le mode derive alors ... voila, Kévin m as emmener voir une personne qui avait un bracelet temporelle... on a du faire du troc (je retenais un rire) puis j ai pu me matérialisé dans mon vaisseau après je t ai récupéré et soigner, voilà pour l histoires "

Je ne voulais pas m attarder sur la question comment j avais réglé le problème, alors je lui montra l écran avec la faille changeant complètement de sujet

" l an 42 avant jésus christ ! En plein empire Romain ! Une faille a doubler de volume ! Allons donc voir se qui se passe !! (Sourire enjoué)