Aprés le plongeont !!

ont traversa à grande vitesse le poste de contrôle, le couloir, se retrouvant atterrissant dans la piscine sans fond du tardis qui c’était mis à l'horizontal pour nous accueillir de notre chute spéciale, à cause de la vitesse ont parti loin sous l'eau, je fit quelques mouvements des jambes pour stopper la descente tenant toujours Rose dans mes bras, elle n'avait pas la capacité de mes poumons, il fallait que je la remonte vite à la surface, je récupérais un de mes bras et lança une pulsion sonique qui nous propulsa à l'air libre à la surface, ont puent reprendre notre souffle ...

" OUHOU !! sa décoiffe !! "

je regarde Rose blanche comme un cachet d'aspirine, vérifiant que tout vas bien avec mon tournevis sonique, elle a du avoir peur ...

" je suis désolé j'aurais peut être dû de prévenir avant ..."

je la ramenais vers le bord de la piscine, l'installant hors de l'eau, parti en courant dans les cabines du vestiaire récupérer des serviettes sèches, puis je revenais vers elle pour l'en entourer et la réchauffer ... le tardis c’était remis à l'endroit entre temps. ah que j'avais de la chance d'avoir ce vaisseau si réactif et intelligent !! je serais mort bien des fois sans lui !! je m'assis prés de rose, m'entourant à mon tour d'une serviette pour me sécher un peu, il faisait bon ici, mais l'espace était glaciale et sa mettrait peut être un peu plus de temps a nous réchauffer ...

" ont avaient pas d'autre choix que de faire exploser le bateau ... ces insectes sont intelligent et évoluent extrêmement vite, ils sont devenue plus tactiques depuis la dernière fois que je les ai rencontrer, là ont étaient bloqués, il n'y avait plus d'autre solution possible .... tu comprends ?"

je la regardais inquiet, elle était étrangement silencieuse ...

"tout vas bien ?"

Je sentis une grande éclaboussure, et que je m'enfonçais dans l’eau, de plus en plus profondément, et j’avais été surprise, je n’avais pas eu le temps de prendre une inspiration. Je commençai à paniquer, sentant l’eau entrer dans mes poumons. Puis, une grande impulsion, qui nous ramena vers le haut, il fallait que je tienne, mes poumons me brûlaient, et, finalement, une nouvelle vision.
** Une dame du temps que je ne connaissais pas, une blonde, plutôt jolie, bien habillée, entourée de nobles dont j’ignorais tout, et accompagnés de Rassilon. Décidément, celui là, je le voyais souvent dans mes visions, cette dame pleurait, alors que l’un des personnages autour tapotait sur une machine, et, je la vis être absorbée dans une sorte de faille étrange***
Mais la vision fut interrompue par le cri du docteur qui venait d’atteindre la surface, puis, il m’amena au bord, je me sentais toujours chamboulée par cette vision, et la tasse que j’avais bue. Dans un état second, je sentis qu’on me sortait de l’eau, et qu’on me séchait. J’entendais le docteur me parler des araignées, mais leur sort m’indifférait complètement, après tout, ce n’étaient que des machines, en quelque sorte des cyberaraignées.
J’acquiesçait à sa question d’un signe de tête, je repensais à cette vision, et à ce qu’elle voulait dire, et je faisais le parallèle avec le livre que j’avais lu sur la plage. Et je repensais au regard de ce Rassilon dans ma vision, je détestais de plus en plus ce type.
Le docteur me demanda comment j’allais, je le regardai et lui fit un petit sourire fatigué.

R : Ca va aller, ne t’inquiète pas, juste un peu secouée. Et toi, je vois que ça s’est bien passé pour toi, comme toujours.

Je me mis à tousser, il fallait bien que j’évacue l’eau que j’avais ingurgité dans mes poumons. Et je me sentais toute tremblottante, j’avais un peu de mal à encaisser cette chute. Et j’avais besoin d’une boisson chaude pour calmer tout ça, ainsi que d’une douche bien brûlante.
Et, là, Mary nous annonça son départ. Très précipité, je trouvais, elle qui avait tant envie de continuer à me tester, qui s’en allait en vitesse comme ça, c’était assez surprenant. Avait t’elle eu une ouverture avec le beau Karl qui lui plaisait tant ? Chanter, moi ? Elle voulait qu’il pleuve dans le Tardis, ou quoi ?
Mais, je n’eus pas l’opportunité de lui poser les questions que je voulais lui poser, et ça me décevait un peu. Tant pis, je trouverais bien un moyen d’avoir mes réponses.
Je me levai, lentement, puis, je filai dans ma chambre pour me sécher, et me changer. Peut être que le costume mouillé rendait le docteur encore plus sexy, mais moi, de mon côté, le look tee-shirt mouillé, ce n’était pas trop mon truc.
Je me remis une petite toge romaine que j’aimais bien, quelle tristesse d’en avoir laissé une au moyen âge, quand même.
Je remontai retrouver mon docteur avec un brand bol de chocolat bien chaud que m’avait amené mon amie Tardis. Mais, comme il n’était pas dans la salle de commandes, je retournai dans la bibliothèque annexe, qui était un peu devenu ma petite pièce à moi. Et m’assis dans le fauteuil. Je réfléchissais à tout ça, à ce pouvoir, à ce que m’avait dit le Tardis, sur les zones d’ombre à mon sujet, est ce que ça concernait l’étendue de mes pouvoirs, de ma mutation, ou bien de leur origine. Et je repensais à cette vision, qui pouvait t’elle concerner ?

R : Je sais que tu es là, inutile de te cacher.

Et l’incarnation du Tardis apparut en face de moi.

R : Je ne comprends pas comment ça se fait que tu apparaisses maintenant, et que tu ne le faisais pas avant.

T : C’est tout simple, je ne peux apparaitre qu’à proximité d’une source d’énergie temporelle, dans le noyau, et c’est pour ça que je t’avais fait venir auprès de moi à notre première rencontre, et maintenant que tu es ta propre source d’énergie, je peux venir près de toi, mais que si tu es dans la zone d’influence du Tardis. Et seulement si tu le désires.

Je lui montrai le livre noir que je conservais dans mon sac

R : Peux tu me parler de ce livre ?

Je sentis que le Tardis était gêné par ma question, qu’elle souhaitait éviter le sujet, mais qu’elle allait quand même répondre ce qu’elle pouvait.

T : Ce journal a été caché, il y a un millier d’années, ici, par une dame du temps qu’on appelait Serenity, si tu as lu son histoire, tu sais ce qu’il lui est arrivé, je ne sais pas quoi te dire de plus, en fait.

R : Alors, que peux tu me dire sur ces limbes, sur cette prison des seigneurs du temps ?

T : Pas grand-chose, en fait, le haut conseil gardait jalousement ses secrets là-dessus, je sais juste qu’ils y mettaient des gens qu’ils ne voulaient pas tuer, pour les faire disparaitre. Et ils les y gardaient ainsi, suspendus dans le temps. Pour le reste, ma mémoire a été verrouillée. Le docteur pourra peut être d’en dire plus.

Je lui souris, et je fermai les yeux deux minutes, je récupérais plutôt bien de mes émotions. J’espérais que mon docteur vienne vite me rejoindre.

Rose était partis se changer, pour ma part, j'enlevais tout et m'entourais de ma serviette, me promenant dans les couloirs comme si j’entais seul ! après tout il n'y avait pas de quoi fouetter un chat !! j’étais tout de même gelé, alors je pris une douche bien chaude, jusqu’à retrouver mes extrémités vivantes ! puis j'enfilais mon costume bleue, ça faisait des lustres que je ne l'avais pas mis celui la !! ébouriffage de cheveux, lunettes sur le nez et voila !!

je sortis de ma chambre et partis à la recherche de Rose que je trouvais assise dans le bibliothèque, décidément elle aimaient beaucoup cet endroit !

"tu as trouvais de nouveaux livres à dévorer ?? sais tu qu'au niveau inférieur il y en a une autre ??(grand sourire appuyé sur le chambranle de la porte)"

je la rejoignaient prés de son fauteuil, m'accroupissant sur l'accoudoir pour la regardais

" sa va mieux on dirais ? je suis vraiment désolé ... j'ai pas réfléchis ! Oh !!! (me lève d'un bon) "

je lui sortais de ma poche sans fond une sorte de téléphone d'un autre temps, Mary datait vraiment du siècle dernier !! ce modèle à fils ne se faisait plus de puis longtemps !!


"elle m'as dit de te le donner que si tu avais besoin, elle serait toujours au bout du fils ! ... apparemment tu as été adopté !! (grand sourire)"

je m'asseyais sur la table face a Rose, la regardant contemplé ce téléphone d'une autre ère ... en réfléchissant à la suite ...

" y a t-il un endroit dans l'espace ou le temps que tu voudrais voir ? une personne en particulier ?? un nouveau peuple peut-être ?? une fois j'ai rencontrer l'agent Mulder du FBI aux États Unis sur Terre !! AHAH qu'est ce qu'on a rit quand je lui est confirmé que j’étais bien un Alien !! lui qui nous à chercher toute sa vie ... je lui ai même fait faire la visite de quelque planète ! il était aux anges ... tu le connais ??"

R : En fait, j’aime bien venir ici, cette bibliothèque a un petit côté intimiste, quelque chose d’apaisant. Et je me sens bien ici. Et puis, je l’ai bien nettoyée, alors, autant en profiter.

Je lui souris, j’allais beaucoup mieux.

R : Super Tardis m’a fait un bon chocolat chaud, et avec une bonne douche, je me suis bien remise. Et ne t’excuses pas, c’était très fun, ce plongeon acrobatique synchronisé. J’aurais juste du retenir ma respiration et ne pas me laisser surprendre par l’amerrissage.

Il me tendit un vieux téléphone, une pièce de musée, je le regardai en souriant, un engin antique qui devait au moins dater de l’époque de Thomas Edison, et, étrangement, ça me m’étonna même pas de Mary, avec son petit côté excentrique. En revanche ce qui m’interpella, c’était quand avait t’elle eu le temps de donner ça au docteur ?
Ce n’était pas grave, je pris le téléphone, et me demandai où je trouverai une prise pour brancher cette antiquité, je sentais que le Tardis riait bien sous cape de ce délirant présent.
Puis, je le posai sur le guéridon, et remarquai une prise qui avait apparu comme par magie, juste à côté.

R : Merci mon petit loup ! T’est vraiment gentille.
Sa remarque sur Mulder me fit sourire, je pensais qu’il s’agissait d’un héros de fiction, encore une fois, je m’étais trompée.
Puis, je regardai le docteur avec un peu plus de sérieux.

R : Docteur, il faut que je te parle d’une vision que je viens d’avoir, encore une, et qui concerne ton peuple. Que peux tu me dire sur une prison qu’ils appelaient les limbes ? Je suppose un truc un peu comme l’arche de Genesis, qui leur permettait de stocker leurs prisonniers, en l’occurrence pour celle là, des personnes gênantes qu’ils voulaient faire disparaitre.

Puis, je lui racontai la vision qu’il m’avait interrompue, avec un petit sourire. Et j’espérais qu’il pourrait me donner plus d’indications.

je la regardais fixement quelques secondes, sont rêve me surpris assez je ne savais pas que Rassilon avait vécu ce genre de chose ... ça pourrait bien en expliquer d'autre ...

les limbes sont des sortes de prison temporelle, un peut comme nos testaments mais lorsque l'on est enfermé dedans on y ai comme perdu, personne ne sort des limbes, au bout de 2000 ans, notre essence de seigneur du temps quitte notre corps, absorbé par la matrice des limbes et celui ci meurt définitivement,on ne peut pas se régénérer dans les limbes et on est toujours conscient quand sa se produit ... une sorte de labyrinthe géant qui n'a pas de sortie ... une punition infligé au seigneur du temps qui avaient fait de lourdes fautes ou aux criminelles de Gallifrey ... étonnant que tu ai vu ça ... je me demande si tu n'est pas relié d'une manière ou d'une autre à Rassilon ...

je réfléchissais, me mettant à sa place, si on me faisait un truc pareil je suis certain que je ne contrôlerais plus ma colère ... mon frère avait du apprécier se discours allant dans le sens de sa propre folie ... raison pour laquelle il c’était peut être rallié à Rassilon.

ton rêve pourrait expliquer la raison pour laquelle il veut nous décimer, et celle pourquoi mon crétin de frère c'est rallié à lui, ceci dit nous ne sommes pas tous dépourvus de sentiments, comme pouvaient l'être les gardiens des limbes, une sorte de tribunal qui jugeait les victimes qui devaient se rendre la dedans ... a croire qu'ils seraient devenus fous ....

j’étais pensif, j'avais déjà vu les limbes de mes propres yeux, un jugement injuste qui m'avais donner le droit d'y entrer pour récupérer une personne qu'il avaient juger trop vite ... après quelques minutes de silence, j'ajoutais d'une petite voix, celle d'un souvenir très lointain, que je préférais oublier :

c'est immense, il y fait froid, les murs sont haut, quand on les détruits ils se reconstruisent, tu as beau suivre la route parfois tu tombe sur un cul de sac qui n’étais pas la au paravent, tu peux y croiser des formes de vies étrangères, hostiles, difformes, qui te chassent, s'insinue dans ta tête et te prive de sommeil ... un supplice infinie ... que tu vie pendant deux milles années sans interruption ... si tu n'as pas décidé de survivre bien entendu ... c'est comme sa que j'ai retrouvé ma sœur, presque à moitié folle, dans un coin toute tremblante ... si tu avait vu son regard ...

mon récit se perdit dans le silence soudain de la bibliothèque comme je l’étais dans mes souvenirs ...

J’étais tellement désolée de lui réveiller des souvenirs aussi tragiques, je ne pensais pas à mal, quand j’avais posé la question, je lui pris la main, avec tendresse

R : Désolée, si j’avais su, je ne t’en aurai pas parlé.

Après quelques minutes silencieuses, sachant qu’il voudrait en savoir un peu plus, ça ne serait pas le docteur, sinon, je sortis le livre noir et le lui tendis.

R : En nettoyant cette bibliothèque, j’avais retrouvé ce livre, qui y faisait référence, en fait, il s’agit d’un journal intime j’ai appris par mon petit loup que qu’il avait été écrit par une dame du temps qu’on appelait Serenity, et j’ai la quasi certitude que ma vision est en lien avec ce journal, et que la fille de ma vision est, sans aucun doute, celle du journal.

Après avoir lu son journal, et vu sa détresse, j’avais, au fond de moi, l’envie de la sauver, même si je me doutais bien que le docteur ne serait pas très chaud pour une telle entreprise. Et je n’osais pas lui parler de cette idée, mais, de penser que cette jeune femme doive subir ce supplice, alors qu’elle n’avait rien fait de mal, à mes yeux, en tout cas, ça m’aurait été impossible de détourner le regard. Je ne me serais pas sentie digne si je traçais ma route sans rien faire. Je ne savais pas si elle était encore en vie, mais, d’un autre côté, à quoi bon ces vision si ce n’était pas le cas ? Et peut être que la lecture de son manuscrit inciterait le docteur à me le proposer en premier.
Je me calai mieux dans mon fauteuil, et me préparai à faire mon petit regard de dalek, lorsque les alarmes du Tardis se mirent en route. Apparemment, un signal de détresse avait été détecté sur une planète non loin, et mon petit loup pensait que notre présence serait utile.
Nous nous retrouvâmes rapidement dans la salle de contrôle du Tardis.

Elle me sortis de mes rêveries, je la regardais, lui souriant tristement

"ne t'inquiète pas, j'ai toute une collection de souvenirs comme celui-ci ... c'est toujours compliqué de se les remémorer ..."

puis elle me tendis un carnet à la couverture en cuir noir, un symbole gallifreyan sur la devanture, un journal intime ?? Sérénity ?? son nom me disais vaguement quelque chose bien que je ne sache pas qui elle était, je parcourus les pages, retenant ce qu'il y avait d'important, si sa c’était réellement passer comme ça, je comprenais mieux le comportement de mon frère, mais pourquoi se rallier à celui qui avait condamné celle qu'il aimait ?? si le tribunal avait accepté de l'enfermée dans les limbes pour ce simple motif, alors il devait y avoir beaucoup de personne innocente à l'intérieur ... je fermais les yeux ainsi que le carnet que je gardais entre les mains.

"sa explique bien des choses sur le comportement de mon frère, et si tu as des visions allant dans le sens où elle serait encore de se monde, je suppose que tu souhaiterais lui venir en aide, je me trompes ?"

j'ouvre les yeux croisant les siens, que je prends le temps de sondais avant de lui sourire ...

ont auraient pu y aller mais le problème c'est que les limbes se trouvent sur Gallifrey et que ma planète n'existe plus ... avec un peu de chance la guerre du temps aura détruit les limbes, je lui souhaites, sa lui éviterais bien des souffrances inutiles ... tu sais combien je n'aime pas avoir se genre de discours mais ... ont ne peut rien faire pour elle malheureusement ...

c'est alors que les lumières se mirent à clignoter de leur couleur rouge vif, ont se levaient et ont pris le chemin de la centrale de contrôles, le moniteur indiquait une planète en danger mais le tardis n'avais pas encore identifié la source de se danger ... ont devais aller voir par nous même ... par précaution, j'augmentais les boucliers du tardis, jetant un regard complice à Ros, mon éternel sourire aux lèvres.

"Allons-y Rosy !!"

Mince alors, je n’avais pas fait le rapprochement, le petit ami, le bricoleur, dont elle parlait, ça aurait été Epsilon ! Mais quelle cruche ! Je n’avais même pas réalisé, alors que lui, ça lui avait sauté aux yeux. Ca me donnait encore plus envie de la secourir, pour savoir comment était le véritable Epsilon. Mais le docteur m’affirma que c’était impossible, il faudrait que je lui montre que c’était aussi impossible que de traverser le void à pieds ! Et d’autres innocents croupissaient peut-être encore dans cet enfer. Je me pris une seconde à rêver d’une nouvelle société de seigneurs du temps, qui vivraient tranquilles sur une nouvelle planète à se reconstruire une nouvelle civilisation. Et plein de jeunes à éduquer pour Mary.

Je sortis vite de mes pensées, lorsque le tardis se posa sur cette planète Hypolita 5, un monde de forêts. Apparemment, un village qui existait au sud d’ici avait lancé un signal d’alerte,selon le message qu’ils avaient envoyé une météorite s’était écrasée à proximité de leur camp, puis, quelques heures plus tard d’autres messages avaient signalé la disparition de plusieurs d’entre eux. J’étais curieuse de découvrir ce qu’il en était, et ça ne serait certainement pas pire que les araignées tueuses du vaisseau de notre dernière aventure.

Je pris quand même cinq minutes pour enfiler des bottes et une tenue plus adaptée à cette planète, et je récupérai même ma machette que j’avais conservée de notre voyage chez les dinosaures. Et je me dirigeai vers la sortie, après avoir dit au revoir au tardis, évidemment.

Nous commençâmes à marcher en direction de ce camp, le long d’un sentier plutôt bien tracé, j’entendais un petit ruisseau qui coulait non loin, et aperçus un petit animal qui ressemblait à un lapin qui gambadait. Je me serais bien rapproché, mais je ne connaissais rien de la faune de ces contrées,e t c’était un coup à tomber sur une bestiole carnivore, voire venimeuse.

(suite sur hypolita mdr)